Gilbert Montagné a mis tout son cœur dans un livre-CD de comptines pour enfants

Gilbert Montagné s'est lancé un nouveau challenge en écrivant des comptines pour les petits.

Gilbert Montagné sera ce samedi 23 novembre à Lille puis à Englos pour dédicacer un livre-CD de comptines pour enfants qu’il vient de sortir aux éditions Fleurus. Loin de ses tubes On va s’aimer ou Les sunlights des tropiques, l’artiste a pris un plaisir qu’il ne soupçonnait pas à écrire, composer et chanter pour les enfants…

Gilbert, comment est née cette idée de faire un album de comptines  ?

« C’est une proposition des éditions Fleurus. Je n’avais jamais écrit pour les enfants. On a choisi cinq comptines très connues et il y en a cinq autres inédites dont j’ai écrit les paroles et la musique. Au début, je me me demandais comment j’allais faire puis j’ai décidé d’arrêter de penser, je me suis mis au clavier, au piano et les mélodies sont arrivées simplement. J’ai pris beaucoup de plaisir à faire ça, je me suis surpris de l’intérêt que j’y ai pris mais en même temps je ne sais pas faire semblant donc si ça n’avait pas été le cas, je n’aurais pas pu le faire. J’ai apprécié de me replonger dans l’enfance, dans nos racines. »

Avez-vous collaboré avec des spécialistes de la petite enfance pour trouver les mots adaptés ?

« Non, je ne voulais pas quelque chose de trop réfléchi, je voulais que ce soit naturel, spontané, je voulais le faire avec le cœur. J’aime travailler de façon instinctive et là peut-être encore plus que d’habitude. Je ne m’y suis pas repris à plusieurs fois pour composer, c’est venu tout de suite et j’aime quand c’est comme ça car les deux choses magiques dans notre métier, c’est le public et l’inspiration. Je me suis justement inspiré de ce que je faisais avec mes enfants, mes petits-enfants. »

Comment avez-vous opéré le choix pour les comptines déjà existantes ?

« On m’a présenté une liste et j’ai choisi au feeling. J’ai bien aimé « Tourne, tourne, petit moulin », j’ai pris « Une souris verte » parce que mes petits-enfants la connaissent. J’ai surtout décidé de les chanter avec presque une autre voix, pas avec la pleine potentialité de la mienne, un peu comme si j’étais tout près de mes petits-enfants. Je voulais une autre interprétation. »

La plupart des comptines sont joyeuses et entraînantes mais il y en a quelques-unes plus mélancoliques comme « C’est l’heure de faire dodo » et surtout  Je m’ennuie de maman ». Pourquoi ce choix ?

«  Avec « Je m’ennuie de maman », je me suis penché sur la temporalité d’un enfant. La maman qui lui dit « à demain » en le couchant le soir mais, pour lui, demain c’est quand ? C’est loin ? C’est plus tard ? Je me suis branché sur l’intime d’un enfant avec sa maman et son papa d’ailleurs. Quand je dis « Et après son travail il reviendra, je sauterai sur son dos, on fera de la moto ». ça me ramène aussi à mon enfance, mon père m’emmenait aussi en moto, c’était ma distraction. »

Sur « Les fleurs qui chantent », vous chantez avec des enfants. C’était prévu dès le départ ?

« Quand je racontais « Le petit chaperon rouge » à mes enfants et à mes petits enfants, on imaginait toujours qu’il y avait des fleurs qui chantaient et qui l’accompagnaient sur son chemin. Au départ, j’avais fait des voix très hautes comme les petits enfants mais j’ai finalement trouvé ça plus intéressant de le faire chanter par des petites filles. On a déjà fait une écoute dans une librairie et j’ai constaté que les enfants aimaient bien cette version. »

Vous serez samedi au Furet du Nord à Lille et Englos pour dédicacer ce livre-CD…

«Oui et ça me fait très plaisir, j’aime beaucoup le Nord. Ça me rappelle à chaque fois des souvenirs d’enfance quand j’allais en vacances avec mes parents à Blériot ou à Wissant, ce sont des souvenirs qui me tiennent à coeur. Il y a un côté sentimental, j’espère qu’il y aura beaucoup de parents et d’enfants. »

Ce livre-CD pourrait-il un jour donner lieu à un spectacle ?

« C’est marrant que vous me posiez cette question car justement j’y pensais. Je ne sais pas mais ce ne sera pas pour tout de suite de toute façon car je suis aussi dans l’élaboration de mon nouvel album, qui sortira en avril, et je ne me vois pas mélanger les deux. Cela dit, je suis très agréablement surpris dans mes concerts de voir qu’il y a des enfants très jeunes qui connaissent mes chansons et pas que les grands succès. Je crois que mon apparition dans l’émission Mask singer y est pour beaucoup. »

Gilbert Montagné sera en dédicaces ce samedi 23 novembre de 11 h à 13 h au Furet du Nord à Lille puis de 15 h à 17 h au Furet du Nord à Englos pour son livre-CD de comptines « On chante, on danse » avec Gilbert Montagné, édité aux éditions Fleurus

Florent Peyre a eu le coup de foudre pour le commandant Saint-Barth

Florent Peyre a tout de suite su que ce rôle était pour lui. Photo Philippe Virapin/TF1

Les séries policières font généralement recette mais pour se démarquer de l’offre pléthorique dans le genre, il convient d’amener sa touche d’originalité. On souhaite à Florent Peyre, qui débarque ce jeudi soir (21 h 10) sur les écrans de TF1 dans la peau du Commandant Saint-Barth le même succès qu’à Audrey Fleurot avec son personnage de Morgane Alvaro dans HPI.

L’humoriste, qui a déjà incarné un rôle de flic récemment dans Le fil d’Ariane, aux côtés de Chantal Ladesou, a plutôt une belle partition à jouer avec ce Commandant Saint-Barth, de retour sur son île natale, plus de quinze ans après l’avoir quittée et qui va imposer ses méthodes peu conventionnelles pour résoudre des enquêtes. Il va aussi se trouver confronté à son passé, en recroisant la route de son ex-petite amie, qui lui réserve une sacrée surprise, et en confirmant ses doutes sur son père, accusé de meurtre et en cavale depuis des années, dont il est convaincu de l’innocence.

Le pétillant Florent Peyre rayonne dans un registre taillé quasiment sur mesure. « Même si je sais que ce n’est absolument pas le cas, j’ai eu l’impression en lisant le scénario que le rôle avait été écrit pour moi, confie l’intéressé. J’ai appelé mon agent en lui disant le commandant Saint-Barth, c’est moi, je veux absolument le faire. »

Les ingrédients qui l’ont séduit ? « Quand je regarde une série , je m’attache toujours plus aux personnages et à l’ambiance qu’à ce que ça raconte. Là, j’ai découvert un personnage haut en couleur, un très bon flic avec un vrai instinct mais qui arrive en chemise à fleur, qui ne peut pas regarder les cadavres et qui à l’habitude de prendre quelque chose sur la scène de crime, un « objet totem » qui lui permet de se mettre à la place de la victime.  En plus les enquêtes sont bien ficelées, pleines de suspense.»

Cerise sur le gâteau, le tournage a eu lieu en Guadeloupe offrant ainsi de sublimes décors aux intrigues. « Les épisodes sont diffusés fin novembre au moment où les vacances estivales sont déjà ou encore loin, où l’on a froid, où l’on est enrhumés, ça va donc faire du bien aux gens de passer leurs soirées avec de l’eau turquoise, des cocotiers et des gens bronzés  », assure-t-il.

Florent Peyre est d’ailleurs persuadé que la série touchera un public familial : « Si j’étais gamin, j’adorerais que Saint-Barth soit mon pote, je jouerais dans ma chambre à l’imiter comme j’ai pu le faire avec Magnum et Belmondo », se réjouit l’artiste, absolument pas frustré par les contraintes de la télévision. « Il y a évidemment moins de place pour l’improvisation sur un tournage que sur la scène, c’est une autre manière de jouer, de travailler et ça n’empêche pas quelques moments d’illumination qui font que la séquence prend une autre dimension mais quand c’est déjà bien écrit, comme c’est le cas ici, je sais être raisonnable et me tenir au texte, assure-t-il. Je rêve qu’il y ait plusieurs saisons, alors soyez devant vos télés. » L’appel est lancé.

Commandant Saint-Barth, mini-série de 6 épisodes de 52 minutes, sera diffusée dès ce jeudi 21 novembre (21 h 10) sur TF1. Avec Florent Peyre, Joyce Bibring, Philypa Phoenix, Yannig Samot.

Solène Petit vous invite à doublement « Prendre corps »

Solène Petit au milieu d'une partie des portraits exposés à La Fileuse à Loos.

Ancienne élève de l’école du Nord à Lille, Solène Petit vous propose un double rendez-vous à La Fileuse à Loos avec une exposition déjà accessible, le mercredi (10h à 12h et 14h30 à 17h30) et le vendredi (14h30 à 17h30) jusqu’au jeudi 28 novembre, jour de représentation du spectacle du même nom « Prendre corps ».

Un double projet qui s’est construit en plusieurs temps et qui trouve ses origines dans un travail effectué pour L’école du Nord en troisième année. « C’était un exercice qui s’appelait Le croquis de voyage, où il fallait partir seul, en sac à dos, sans portable, se souvient-elle. Je venais de vivre une rupture amoureuse et j’avais décidé de faire une sorte de Tour de Gaule en allant questionner les restaurateurs, les producteurs sur les enjeux de l’alimentation. Très vite, je me suis retrouvée dans des milieux de viandards, de chasseurs et je me suis dit qu’il y avait quelque chose à faire sur la question de la viande et du patriarcat puis je me suis mise à travailler plus largement sur la question du genre et de l’alimentation. De là est née un première capsule et des personnes qui l’ont vue à la maison folie de Wazemmes m’ont dit qu’il y avait vraiment un truc à faire. »

En possession de tonnes de carnets remplis de notes et d’interviews, l’artiste a d’abord réfléchi « à quel fil tirer pour qu’il y ait une vraie trame » avant de bénéficier d’un dispositif Tremplin DRAC », qui permet d’accompagner de jeunes artistes pour les aider à créer leurs spectacles. »

Des témoignages poignants retranscrits dans une exposition

« Prendre corps » a fini par voir le jour, évoquant la question de l’identité, du corps, de la quête de soi, de la capacité à s’émanciper du regard de l’autre. Convaincue de l’intérêt de se pencher aussi sur la question des troubles alimentaires, Solène Petit a, en parallèle à la construction de son spectacle, eu l’accord du médecin Séverine Andrieux pour réaliser une immersion au sein du service nutrition de l’hôpital d’Arras, où elle a pu entrer en contact avec des patients atteints d’anorexie, de boulimie ou d’obésité : « J’ai expliqué ma démarche aux patients, mon souhait de discuter avec eux de leur rapport au corps, poursuit-elle. J’y ai passé du temps, déjà pour installer le rapport de confiance puis pour recueillir leurs témoignages. J’ai rencontré des gens incroyables, hyper généreux. Je ne suis pas thérapeute, ni psy. L’idée était de trouver un autre regard pour parler de tout ça et de les accompagner pour qu’ils se réconcilient avec leur image, leur corps. On a mis en place une séance photos, j’ai fait appel à la photographe Vanda Spengler, qui travaille aussi beaucoup sur la question des corps et notamment des corps hors normes. Tout le monde a accepté de participer, ça a été des moments très forts. »

C’est ainsi qu’est née l’exposition, à la fois photographique mais aussi textuelle, avec des extraits des écrits des patients, et sonore au travers de témoignages que l’on peut écouter en scannant un QR code sous les photos. »

D’abord installée à l’hôpital d’Arras en, juin, cette exposition a ensuite été présentée à la médiathèque de Fives, puis au Prato et donc désormais à La Fileuse à Loos avant de poursuivre sa route ailleurs. « Je souhaite qu’elle continue à tourner dans les milieux hospitaliers, peut-être auprès des lycéens également, l’adolescence étant une période où l’on n’est pas toujours à l’aise avec son corps, mais je tiens aussi à ce qu’elle soit accessible au grand public car la question du rapport au corps touche finalement un peu tout le monde. »

Un spectacle hybride, drôle et émouvant

Si le spectacle, joué pour la première fois le mois dernier au Prato, était déjà écrit en grande partie avant que ne surgisse l’idée d’une exposition, celle-ci a clairement influencé la fin : « ça a été un déclencheur, ça m’a fait écrire un dernier tableau qui aurait sans doute été différent sans cette expérience. »

Avec son camarade Lucas Rahon, co-créateur de sa compagnie Mordre ta joue, Solène Petit a conçu un spectacle rempli d’humour et d’émotions. Accompagnée sur scène du musicien Martin Mahieu, elle joue, chante, danse, interagit beaucoup avec le public. « J’aime le mélange des genres, ce n’est pas du théâtre pur, ça frôle un peu la pratique performative, avoue-t-elle. On a également fait un gros travail sur la scénographie avec Chloé Tempelhof. C’est totalement une mise à nue en ce qui me concerne. J’y ai mis toutes mes tripes. C’est mon premier gros bébé. » Et certainement pas le dernier, la comédienne ayant déjà été sollicitée par le cinéma, on la retrouvera aussi prochainement sur grand écran.

Exposition et spectacle « Prendre corps » à la Fileuse à Loos. L’expo est déjà accessible gratuitement le mercredi (10 h à 12 h et 14 h 30 à 17 h 30) et le vendredi (14 h 30 à 17 h 30) jusqu’au 28 novembre. Le spectacle aura lieu le jeudi 28 novembre à 20 h. Prix : 5 à 6 €.

« Finalement », un road movie nostalgique et musical à la sauce Lelouch

Kad Merad rêvait de jouer dans un film de Claude Lelouch. C'est chose faite. (c) Metropolitan FilmExport

Depuis deux jours, le 51e film de Claude Lelouch, 87 ans, est dans les salles. Comme son titre ne l’indique pas, Finalement ne sera peut-être pourtant pas le dernier.  « Quoi qu’il arrive, personne ne pourra m’empêcher de tourner sauf le grand patron, là-haut, sourit le réalisateur. Un jour il va me dire stop. Je me rapproche de la ligne d’arrivée, je suis rentré dans une phase testamentaire. En général, les dernières paroles, on les prend un peu plus au sérieux que les autres même si on a dit des conneries toute sa vie. J’ai essayé de mettre dans ce film beaucoup de choses, que ce soit ludique, que ce soit une cour de récréation et pas une salle de classe. »

Finalement, c’est l’histoire de Lino (Kad Merad), un brillant avocat qui décide du jour au lendemain de fuir cette société qui ne lui convient plus et de se lancer dans un road movie, trompette à la main, sans prévenir ses proches Claude Lelouch offre à son personnage principal un joli voyage dans cette France qu’il adore, du Mont Saint-Michel à Avignon en passant par le circuit des 24 heures du Mans. « Je suis un vrai Parigot, je suis marié à Paris mais la France est ma maîtresse », avoue le réalisateur, qui propose aussi aux spectateurs une immersion dans sa filmographie à travers de nombreux clins d’oeil, notamment à L’aventure c’est l’aventure mais aussi La bonne année. « J’ai le sentiment de n’avoir fait qu’un seul film en 51 épisodes et c’est vrai qu’il y a plein de repères qui donnent un côté album de famille, je crois que personne n’avait jamais fait ça dans l’histoire du cinéma mais comme je suis auteur, réalisateur, producteur, j’avais tous les droits, sourit-il. Après, les gens peuvent aller le regarder sans avoir vu les précédents, ça reste un film indépendant avec sa propre histoire. »

Le message que le réalisateur a, cette fois, souhaité passer c’est que tout ce qui nous arrive dans notre vie, c’est pour notre bien : « Dans ma vie personnelle, tour ce que j’ai réussi, je l’ai d’abord raté. J’ai plus appris de mes échecs, de mes souffrances. Le bonheur, c’est un feu d’artifice, c’est très court », assure-t-il. « Je travaille avec un très grand scénariste qui s’appelle la vie, se plaît-il à répéter.Tous les personnages de mes films, je les ai croisés ; tous les dialogues, je les ai entendus. Je suis une sorte de reporter de mon temps. J’ai la conviction que l’on vit une époque charnière, que l’on a tous les outils pour fabriquer un monde nouveau ou précipiter la fin du monde, il ne faut pas se gourer de bouton. Lino c’est le portrait d’un personnage qui est lui aussi sur un fil et qui traverse, à sa façon, sa fin du monde à lui. »

Au sein d’un casting 5 étoiles comprenant notamment Elsa Zylberstein, Sandrine Bonnaire, Michel Boujenah ou encore Françoise Fabian, Claude Lelouch a convié quelques petits nouveaux dont Barbara Pravi, qui ajoute sa touche musicale à un film bénéficiant, par ailleurs, des talents de compositeur du trompettiste Ibrahim Maalouf.

Pour le rôle principal, le choix s’est tourné tardivement et avec la complicité du destin sur Kad Merad : « Je me suis retrouvé dans un train avec la femme de Claude et je lui ai expliqué que je rêvais de tourner un jour avec lui, explique l’heureux élu. Un peu plus tard, j’ai reçu un appel de Claude pour me proposer ce rôle. Je me suis régalé. Dans ses films, les personnalités des acteurs ressortent un peu plus, on peut apporter sa nature, peut-être plus qu’ailleurs. Claude, c’est un voleur mais au sens noble du terme. Bien sûr il y a les figures imposées (le scénario) mais aussi les figures libres. Il y a quelque chose d’écrit, de très imposé, et puis il y a la liberté. J’ai adoré sa méthode de travail. »

Claude Lelouch n’a pas non plus caché son admiration pour son acteur principal : « Kad, il se fout de son image, même les choses sérieuses, il les dit en déconnant et ça me plaît, insiste-il. On peut tout dire à tout le monde si on trouve la façon de le faire. Kad il peut dire des horreurs avec le sourire. J’ai eu la chance de toujours tourner avec des actrices que j’aurais pu épouser et des acteurs dont j’aurais pu être le pote. »

« Finalement », de Claude Lelouch. En salle depuis le 13 novembre. Avec Kad Merad, Michel Boujenah, Elsa Zylberstein, Françoise Gillard, Sandrine Bonnaire, Françoise Fabian, Barbara Pravi…

Le Fort de Mons Comedy Show a fait de la résistance

Les humoristes sont de retour au Fort de Mons ce vendredi 15 novembre.

Après un démarrage triomphal le 4 avril, le Fort de Mons Comedy Show a pourtant dû rendre les armes. La décision de fermer le Fort en raison de fortes inondations n’a pas permis à l’humoriste Simon Wass et son associé Alex dans la société Badin Productions de poursuivre sur leur lancée.

Qu’importe les deux hommes ont su résister à ce coup du sort, s’armer de patience, et les voilà de retour ce vendredi 15 novembre (20 h 30) avec une deuxième édition alléchante. Un plateau de huit humoristes (Céline VDB, Mustapha Lagragi, Adrien Beltoise, Adrien Bonan, Noah Plasse, Rocco Mathy, Alban Parmentier et Pilou), majoritairement de la région et évoluant dans des registres variés, qui passeront chacun environ huit minutes pour offrir aux spectateurs (la jauge est d’environ 100 places) un aperçu de leur talent.

« On a décidé d’organiser ce type de soirée une fois par trimestre, précise Alex. La fermeture du Fort de Mons avait un peu cassé l’ambiance en avril mais là on va reprendre le rythme et on a même décidé de mettre au point deux formats. On va aussi organiser un Comedy club une fois par moi où des jeunes humoristes comme des confirmés pourront venir tester leurs nouveaux sketchs. Il y aura trois ou quatre artistes lors de chaque soirée. »Les deux premières sont déjà programmées pour le jeudi 28 novembre et le mercredi 11 décembre.

Fort de Mons Comedy show n°2, ce vendredi 15 novembre (20 h 30).

Ouverture des portes à 19 h. Petite pause après les quatre premiers passages avec bar et petite restauration sur place.