Le Festival Series Mania dévoile les grandes lignes de l’édition 2025

Le festival Series Mania est de retour à Lille avec encore de belles surprises.

La barre des 100 000 spectateurs sera-t-elle franchie  ? L‘an passé, le festival Series Mania avait accueilli 98 000 fans et plus de 4 200 professionnels. La programmation de cette édition 2025 devrait en séduire plus d’un. Le comité de sélection a visionné plus de 418 séries pour en retenir finalement 46, réparties comme chaque année dans différentes catégories (compétition internationale, compétition française, panorama international, formats courts) sans oublier les séries hors compétitions. « On assiste à un retour en force des séries politiques avec un regard contemporain sur de grands conflits mais il y a aussi beaucoup de séries avec des thématiques familiales et une montée en puissance des femmes avec de plus en plus de personnages principaux qui sont des héroïnes », se réjouit Laurence Heszberg, la directrice générale du festival. 

Les séries d’ouverture et de clôture

Pour lancer le festival, c’est Carême, une série diffusée en avril sur Apple+, qui a été retenue. L’histoire du premier chef cuisinier à atteindre la gloire au début du XIXe siècle avec notamment Benjamin Voisin, Lyna Khoudri et Jérémie Renier. Et pour terminer sur une note joyeuse, Series Mania ne pouvait se priver de la diffusion du premier épisode de la cinquième, et a priori dernière saison, de HPI avec toute l’équipe emmenée par Audrey Fleurot et Mehdi Nebbou

Les jurys

Ils seront encore très cosmopolites et éclectiques avec notamment dans les rangs français, les comédiennes Karin Viard (compétition internationale), Marie Collomb, récemment vue dans Culte (panorama internationale) ou encore la chanteuse et comédienne Camelia Jordana (présidente du jury de la compétition formats courts). Pamela Adlon (Californication, Better things) sera la présidente du jury compétition internationale).

Les artistes attendus

C’est toujours l’information la plus guettée par les fans de séries. Quels acteurs et actrices viendront fouler le tapis rouge ou défendre les séries en compétition ? Beaucoup de négociations étant encore en cours, il faudra patienter jusqu’à la dernière minute pour connaître le casting complet de cette édition 2025 mais sont déjà confirmés Camille Chamoux, Sofia Essaidi, Patrick Bruel, Typhaine Daviot, Guillaume Labbé, Natacha Lindinger, Thomas Ngijol, Alix Poisson, monsieur Poulpe, Fred Testot, Thaïs Vauquieres ou encore Jonathan Zaccai. Le réalisateur Costa-Gavras sera lui aussi au rendez-vous à l’occasion de la projection d’un documentaire qui lui est consacré.

Le village Festival installé comme d’habitude au Tripostal verra passer des comédiennes de Demain nous appartient (Jennifer Lauret, Charlotte Gaccio…), l’actrice principale de Candice Renoir, Cécile Bois et une partie du casting de La petite histoire de France (François Levantal, Ophélia Kolb, Anne-Sophie Girard…). François Xavier-Demaison et Jeanne Bournaud viendront représenter Le négociateur. Enfin, séquence nostalgie avec des acteurs de la série Seconde B qui passait dans les années 90 avec Pascal Jaubert et Igor Butler.

Les conférences et masterclasses

Un hommage sera rendu à David Lynch avec une conférence « Forever Twin Peaks » en présence du réalisateur Fabrice Gobert et de la comédienne Marine Delterme. Une conférence sera proposée sur la scénarisation des cérémonies d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 avec le metteur en scène Thomas Jolly et l’écrivaine Leila Slimani. Le rappeur Sofiane Zermani et la comédienne Zahra Harkat évoqueront les séries du Ramadan. Enfin, François Hollande interviendra sur le débat « Président de la république, un héros de série pas comme les autres ».

Quatre masterclasses sont, pour l’instant programmées, avec notamment Karin Viard et Pamela Adlon.

Les événements et animations

Alain Chabat en personne viendra présenter lors d’une avant-première les premiers épisodes de la série animée Astérix et Obélix : le combat des chefs, qui sera diffusée sur Netflix. Le public pourra aussi découvrir des épisodes de la quatrième saison de « Parlement », la nouvelle fiction de TF1 « Menace imminente » ou encore Ghosts : fantômes en héritage de Disney+.

Une séance culte avec un appel aux déguisements pour quelques épisodes de la série Une nounou d’enfer est programmée. On revivra également la fameuse soirée « trilogie du samedi soir » que proposait M6 avec des épisodes de Charmed et de deux autres séries à confirmer.

Le tripostal accueillera, enfin, une exposition « Forever 90’s » qui fera la part belle aux séries cultes des années 1990 comme Friends, Buffy contre les vampires, Urgences ou encore Hélène et les garçons.

Retrouvez toute la programmation sur le site officiel www.seriesmania.com

Frédéric Zeitoun livre un album à son image : émouvant, drôle et authentique

Frédéric Zeitoun s'est totalement recentré sur sa vIe d'artiste. @fotogriff

Toute sa carrière ou presque, Frédéric Zeitoun a œuvré au service des artistes. Tantôt en mettant en valeur leur travail dans sa chronique musicale dans l’émission Télématin sur France 2. Tantôt en leur écrivant des chansons. Plus de deux cents titres pour des artistes aussi divers que Carlos, Louis Bertignac, Frédéric François, Lorie, Hugues Aufray, Zaz ou encore Enrico Macias.

Sa connaissance de la musique, Frédéric Zeitoun l’a également mise à la disposition du grand public avec quelques ouvrages tels que « Toutes les chansons ont une histoire » ou « Si les chansons m’étaient contées ». Son nouveau livre « Le dictionnaire jubilatoire de la chanson d’amour », aux éditions Harper Collins, est d’ailleurs sorti il y a quelques semaines (nous y reviendrons prochainement sur ce site).

Au milieu de toutes ces activités, l’homme a néanmoins trouvé un peu de temps pour écrire pour lui-même et réaliser ainsi cinq albums studio dont « Les souvenirs de demain », le dernier en date, disponible depuis le 7 février.

« J’ai toujours eu une vie d’artiste mais c’était un gros temps partiel, sourit-il. Des éléments de vie privée dont la mort d’un ami proche, à qui est d’ailleurs dédiée la chanson « Gil song », m’ont amené à comprendre que le bonheur était quelque chose de très éphémère. Je me suis dit, j’ai plus de soixante balais, j’ai la chance d’avoir un producteur comme Gérard Davoust et un auteur-compositeur comme Gérard Capaldi qui m’accompagnent depuis des années, c’est peut-être le moment ou jamais d’y mettre toute mon énergie. »

Duo avec Anny Duperey

Frédéric Zeitoun a donc décidé de clore cette belle aventure dans Télématin pour se consacrer, enfin, pleinement à lui et signer un nouvel album. « Je n’ai jamais écrit aussi vite, il y avait une espèce de sentiment d’urgence, je me réveillais la nuit pour écrire. J’ai fait les paroles et la musique de pas mal de titres, Gérard Capaldi en a composés quelques autres. J’ai la chance de travailler dans des conditions absolument géniales avec une équipe qui n’a pas d’attentes particulières, qui ne va pas me regarder de travers si les chiffres de vente ne sont pas au rendez-vous. C’est un vrai luxe moral. »

C’est ainsi que ce nouvel album de douze titres a vu le jour, construit avec « toujours la même exigence et en laissant parler le coeur », assure-t-il. Parmi les douze chansons se trouve un duo avec la comédienne Anny Duperey, « Jamais fini d’aimer » . Un exercice pas franchement nouveau pour Frédéric Zeitoun qui s’était aventuré dans un album de duos avec un casting de partenaires aussi incroyable qu’éclectique allant de Lynda Lemay à Manu Dibango en passant par Doc Gyneco, Michel Fugain, SanSeverino ou encore monsieur Charles Aznavour. Un duo avec la comédienne qui s’inscrit également dans le prolongement de la chanson « J’aimerais » qu’ils avaient enregistrée ensemble il y a quelques années. « J’avais ce titre parlé-chanté, plus un poème qu’une chanson sur lequel je me disais que porté par une voix de comédien ça donnerait quelque chose de mieux. Je me suis retrouvé par hasard dans une soirée pour une association « Les funambules » dont j’étais parrain et dont elle avait été la marraine. Je lui ai parlé de ma chanson, je lui ai envoyée et elle a accepté de la faire. Je suis tombé sous le charme, je connaissais la comédienne mais pas la chanteuse ou la diseuse. Elle est venue la faire avec moi sur scène et elle m’avait alors dit « tu sais, je parle mais j’aimerais bien chanter ». Et cette nouvelle chanson, je l’ai vraiment écrite et composée en pensant à elle. »

Concert au Casino de Paris le 22 juin

Dans cet opus, on se régale également avec « Le tribute à moi-même » où Frédéric Zeitoun évoque de multiples artistes : « En fait, j’en ai un peu marre de cette mode de faire des « tribute » de tout le monde. En rigolant avec mon producteur je lui ai dit que j’allais faire un tribute à moi-même. C’est parti en grosse déconnade. J’ai eu la bénédiction de Serge Lama dont je parle notamment dans la chanson, j’espère que les autres qui sont cités comprendront que c’est de l’humour, assez caustique, mais c’est surtout de l’auto-dérision, insiste-t-il. S’il y a quelqu’un dont je me moque dans cette chanson, c’est bien moi.  Au-delà de la blagounette, cette chanson évoque aussi la difficulté d’être juste soi-même dans un système ou dès vos débuts on dit de vous « ah c’est le nouveau machin ou le nouveau Tartampion ». Peut-être que l’on peut juste être soi. »

En concert au Casino de Paris le 22 juin, Frédéric Zeitoun espère également exporter sa musique un peu partout à travers la France : « Quelques personnes en région essaient de me trouver des dates. Sur scène, j’ai vraiment l’impression de faire mon métier, quand je fais ça en guitare-voix ou en guitare-percussion-voix, explique-t-il. Je fais de l’artisanat. Je fais ce que je sais faire du mieux que je peux », avec authenticité, finesse et humour.

« Les souvenirs de demain », Frédéric Zeitoun ; Editeur : Bayard musique. Prix : 13,99 €.

Des signatures prestigieuses pour le premier album d’Aurélien Vivos

Le premier album d'Aurélien Vivos est dans les bacs.

Il s’est fait un peu attendre mais plus d’un an et demi après son succès dans « The Voice », le télécrochet de TF1, Aurélien Vivos a, enfin, sorti son premier album « La plus belle histoire du monde » ce vendredi 7 février, chez Polydor.

Un album sur lequel de nombreux artistes prestigieux ont mis leur empreinte à l’image des auteurs François Walgryn et William Rousseau, qui ont écrit environ la moitié des titres mais aussi Valentin Marceau ou encore Nazim Khaled. Plus inattendu Barbara Pravi lui a offert « Regarde moi », il a bossé avec John Mamann pour « Tout me ramène à toi » et Didier Barbelivien lui a proposé « Un dernier blues pour Johnny » en hommage à Johnny Hallyday.

Zazie, sa coach dans « The Voice », ne figure pas au casting de ce premier opus mais la bonne fée d’Aurélien Vivos n’a jamais été bien loin : « On se contacte régulièrement, elle me donne des conseils, elle m’avait notamment dit de prendre mon temps », précisait-il, lorsque nous l’avions rencontré, il y a quelques mois. L’album était alors en gestation mais l’ancien magasinier du Tarn et Garonne piaffait déjà d’impatience : « Les reprises c’est bien mais j’ai hâte de passer à autre chose, je suis dans une phase où je dois me sentir légitime. »

A défaut de sortir tout de suite un album, son année 2024 a été riche en concerts avec la tournée « De l’ombre à la lumière », un spectacle de reprises conçu « pour aller remercier les gens, partager avec le public ». Aurélien Vivos a aussi pris part à plusieurs concerts de « 500 voix pour Queen » et à quelques dates de la tournée « The Voice ».

Il lui a aussi fallu faire des choix pour retenir treize titres parmi la trentaine de maquettes à sa disposition. « Je voulais faire l’album le plus sincère possible, je n’avais pas envie de raconter des histoires qui ne soient pas les miennes. Je voulais aussi montrer l’étendue de ce que je peux faire, ne pas être étiqueté chanteur à voix ».

« La plus belle histoire du monde », Aurélien Vivos, chez Polydor. Disponible depuis le 7 février.

Danse avec les stars veut confirmer le succès de 2024

La saison 14 de Danse avec les stars commence ce vendredi 7 février sur TF1. (c) Thomas Braut/TF1

Le concours de danses de salon de TF1 revient ce vendredi 7 février (21 h 10) pour une quatorzième saison, une belle longévité confortée par les excellents scores de la dernière saison marquée par la victoire de la chanteuse Natasha Saint-Pier.

Plus de 266 millions de posts sur les réseaux sociaux, 35 millions de Français qui ont regardé au moins une fois Danse avec les Stars l’an passé avec 48 % des 15-24 ans, soit une hausse de quinze points : des chiffres qui ont forcément donné le sourire du côté de la production et de la chaîne. « Battre plusieurs records d’audience en saison 13, ce n’est pas courant », se réjouit Rémi Faure, directeur des programmes et des flux du groupe TF1.

Fort de ce succès, il a été décidé de rallonger un peu le programme cette année, sans dévoiler la durée exacte. La mécanique de l’émission ne change pas, le jury non plus puisque l’on retrouvera les tauliers Fauve Hautot, Jean-Marc Généreux, Chris Marques et la petite dernière Mel Charlot qui s’était parfaitement intégrée l’an passé. « En cours de saison 13, on avait déjà décidé de les garder pour cette année », poursuit Rémi Faure. L’incontournable Camille Combal qui a amené une vraie touche d’humour à l’émission en sera évidemment encore l’animateur.

Afin de susciter le même intérêt, la production a donc tenté de bâtir l’un des plus gros castings de l’histoire de l’émission en prenant soin d’effectuer comme toujours un subtil mélange des genres et des générations.

Une tonalité très sportive a néanmoins été donnée avec deux ex-footballeurs, Frank Leboeuf et l’ancien joueur du LOSC Adil Rami mais aussi le nageur Florent Manaudou et le commentateur sportif Nelson Monfort.

Dans les rangs nordistes, on retrouve aussi la Miss France 2024 Eve Gilles. L’aventurier multi-vainqueur de Koh Lanta, Claude Dartois, a accepté de se frotter à un milieu qui lui est moins familier. Comme toujours on retrouvera des personnalités du milieu de la chanson (Julie Zenatti, Jungeli, Lénie), du cinéma (Charlotte de Turckheim, Mayane) et de la télévision (Sophie Davant).

Les favoris ? « J’espère vaincre la malédiction des Miss France puisqu’aucune n’a encore remporté le concours », confie Eve Gilles. L’ancienne pensionnaire de la Star Academy, Lénie avait déjà démontré de belles qualités de danseuse. Nelson Monfort ne cache pas « un vrai plaisir pour la danse », lui qui pratique aussi le patinage qu’il « hésite à qualifier d’artistique ».

Frank Leboeuf admet « savoir bouger mais avoir trop de respect pour les danseurs pour affirmer qu’il sait bien danser » tandis qu’Adil Rami n’exclut pas totalement l’hypothèse « d’être le futur Billy Elliot » et promet « qu’il n’y aura ni bagarre, ni conflit » en faisant référence aux tensions de la saison précédente entre Natasha Saint-Pier et Ines Reg. Sa complicité avec Camille Combal qui l’a présenté comme « un champion du monde en ayant joué autant de matchs que moi » lors de la soirée de lancement, promet quelques bons moments de rigolade.

Du rire mais surtout du travail et un peu de stress pour certains candidats. « Je suis en panique totale », confiait la comédienne Charlotte de Turckheim avant de se lancer dans l’aventure. « Mon niveau de danse n’est pas fou fou, j’ai plus peur d’apprendre le cha-cha-cha que des araignées », admet Claude Dartois. « Il y a forcément du stress, nous sommes dans un nouvel environnement, on sort de notre zone de confort mais c’est chouette », relativise la chanteuse Julie Zenatti.

Tous mettent en avant le plaisir et la progression : « J’ai envie de prendre confiance, ce n’est pas grave de partir de très bas, c’est normal qu’il y ait des imperfections à corriger. Le but c’est de se dépasser, d’évoluer de semaine en semaine », indique l’animatrice Sophie Davant, finalement assez impatiente, comme la plupart de ses camarades, de débuter l’aventure.

« Danse avec les stars », saison 14, à partir de ce vendredi 7 février (21 h 10) sur TF1.

Thomas Deseur est vraiment entré dans la cour des grands

Thomas Deseur va enflammer le Zénith de Lille mercredi soir. Photo Christophe Kwiatkowski

L’humour made in Nord-Pas-de-Calais se porte bien, merci pour lui. Dans la lignée de Dany Boon et Jeanfi Janssens, toute une nouvelle génération talentueuse trace son chemin depuis quelques années avec notamment Gérémy Crédeville, les Jumeaux mais aussi un certain Thomas Deseur, découvert il y a quelques années sur les réseaux sociaux, et qui connaît une ascension fulgurante.

Après avoir fait carton plein au Spotlight puis au théâtre Sébastopol, c’est le Zénith de Lille qui affiche complet depuis des mois pour venir le voir ce mercredi 5 février (20 h). « On a vendu plus de 65 000 billets sur la tournée, on aura fait entre 75 et 80 dates », se réjouit-il

Pour cette grande dernière, Thomas Deseur devrait réserver quelques surprises à son public à la fin de « Bien », un seul en scène pour le moins original. « Il y a un peu d’humour noir, surtout de l’absurde, du décalé-absurde, indique-t-il. C’est l’histoire d’un gars, moi en l’occurrence, qui cherche quelque chose d’intéressant à raconter à son public et on essaie de trouver tous ensemble ce qui vaudrait le coup de faire le spectacle. »

Un immense succès qui a bien évidemment incité le Nordiste à commencer l’écriture du deuxième spectacle qu’il viendra probablement rôder au Spotlight mais qui va aussi peut-être lui permettre de prendre conscience de son nouveau statut. « Je suis beaucoup dans la remise en question. Je suis content d’avoir déjà fait tout ça, d’avoir rempli de jolis salles, d’être dans des Zéniths comme les Franck Dubosc, Gad Elmaleh ou Élie Semoun que j’allais voir quand j’étais petit. Ce n’est pas de la fausse modestie mais je n’arrive pas à réaliser que je fais le même métier qu’eux, assure-t-il. Cet été, j’ai fait une scène avec Franck Dubosc, qui était mon idole, j’en ai profité pour lui glisser quelques mots, lui dire que s’il n’avait pas été là, je ne serai pas là non plus. Je pense qu’il ne sait pas qui je suis mais pour moi ça boucle un peu la boucle même si je considère qu’ils sont sur une autre planète que la mienne. J’en suis à mon premier spectacle, ils en ont déjà au moins sept ou huit. Ils sont en Ligue des champions et moi en Nationale. J’ai encore un petit complexe à évacuer. »

Que Thomas Deseur se rassure, il joue lui aussi désormais dans la cour des grands. Le Nordiste a même commencé à se diversifier en faisant aussi un peu de fiction. Il a également obtenu un petit rôle au cinéma dans le film de Thomas Combret « Mourir or not mourir » mais pour ce passionné du septième art, qui avait créé un podcast sur le cinéma à ses débuts, c’est surtout sur les planches et dans des vidéos qu’il souhaite pour le moment continuer à faire rire son public.

Thomas Deseur joue son spectacle « Bien » ce mercredi 5 février (20 h) au Zénith de Lille. Complet.