La chanson, première passion de Juliette Mabilat

Les acteurs TV seront en concert ce samedi au Casino Barrière de Lille

Essentiellement connue du grand public depuis quelques années pour ses talents de comédienne, à travers notamment son rôle de Lizzie Roussel dans Demain nous appartient, la passion première de Juliette Mabilat reste néanmoins le chant. Les amateurs de la série quotidienne de TF1 ont d’ailleurs déjà eu quelques occasions d’entendre son grain de voix. Les spectateurs du Casino Barrière de Lille auront, eux, l’occasion d’en avoir un aperçu bien plus large ce samedi 6 janvier (20 h 30), la jeune femme ayant une quinzaine de chansons à son programme, seule, en, duo ou en collégiale, avec quelques autres camarades comédiens pour le concert des acteurs TV.

Un concept imaginé il y a quelques années pour rassembler sur scène des comédiens de différentes séries télévisées ayant des qualités vocales afin de reprendre quelques très grands tubes et ainsi offrir un moment festif au public. « J’avais été contacté une première fois mais j’avais refusé la proposition puis quelques mois plus tard, Louise Marion, qui a aussi joué dans DNA (elle incarnait Angie), m’a appelé pour m’en reparler et, cette fois, je me suis lancée. »

Un projet sympathique car les comédiens ont, à chaque concert, carte blanche pour proposer une liste de titres qu’ils aimeraient interpréter. Un projet également utile pour remettre le pied à l’étrier quand on a des projets musicaux en tête. « J’ai fait une comédie musicale à l’âge de 4 ans et ça a été une révélation, confie Juliette Mabilat. J’ai commencé à prendre des cours particuliers et je n’ai jamais arrêté durant toute ma scolarité. J’ai aussi commencé l’acting très jeune. Sortir un EP ou un album est une vraie envie, un challenge que je vais essayer de mener en 2024 et 2025. Les concerts comme celui de Lille samedi permettent de remettre les pieds sur scène et d’entretenir ma voix. »

Chacun étant très pris par le rythme intense des tournages, Juliette Mabilat travaille beaucoup ses chansons chez elle ou parfois avec Maxime lue et Dimitri Fouque alias Jordan et Jack Roussel (ses frères dans Demain nous appartient). Ses références musicales ? « Adèle est ma number one mais j’écoute aussi Olivia Dean, beaucoup de musique soul. J’aime aussi reprendre des anciennes chansons à ma façon, je le fais notamment avec Mourir sur scène de Dalida.

Ses concerts avec les acteurs TV viennent s’ajouter à un emploi du temps chargé, le train entre Paris et Sète étant presque devenu une seconde maison mais la comédienne, qui se verrait bien dans les années à venir sur les planches au théâtre ou au cinéma, saisit toutes les opportunités. Elle vient de jouer dans le téléfilm Superpapa avec Michael Youn et Jenifer et elle savoure, surtout, son bonheur de figurer dans une série qui cartonne.

« J’aime bien la maturité de Lizzie, qui est un peu une deuxième mère pour ses frères, qui est assez solaire même si elle a déjà dû surmonter pas mal d’épreuves », poursuit-elle. Que souhaite-t-elle pour son personnage ? « Ce serait bien de voir Lizzie en couple, c’est toujours marrant de jouer une histoire d’amour et je crois que le public attend ça. »

Les acteurs TV en concert, ce samedi 6 janvier (20 h 30) au Casino Barrière avec Juliette Mabilat, Marion Christmann, Florence Coste, Benjamin Douba-Paris, David Ban plus, a priori, quelques surprises.

Billetterie : https://www.casinosbarriere.com/fr/lille/spectacles-et-animations/concert/les-acteurs-tv-en-concert.html

Double mission pour Astrid Veillon sur le final de Tandem

Double mission pour Astrid Veillon sur le final de Tandem. Photo TF1

Il y a quelques mois, France 3 diffusait les derniers épisodes de la septième et ultime saison de Tandem, une série policière créée par Jérémie Marcus, menée par le duo Astrid Veillon, dans la peau du colonel de gendarmerie Léa Soler, et Stéphane Blancafort, alias le capitaine Paul Marchal. Les véritables adieux se feront néanmoins ce mardi 2 janvier (21 h) à l’occasion d’un unitaire de 90 minutes. Un téléfilm durant lequel les deux principaux protagonistes vont être amenés à se replonger dans leur passé, au moment de leur rencontre, suite à la découverte d’une partie du cadavre de l’une de leur ancienne copine de promotion.

Un épisode final pour lequel Astrid Veillon s’est retrouvée des deux côtés de la caméra, la comédienne se prêtant, pour la première fois, à l’exercice délicat de la réalisation. « Tant que l’on n’a pas été réalisatrice, on ne peut pas imaginer ce que ça va être, on pense qu’on sait après plus de trente ans d’expérience de plateau, et, en fait, on ne sait pas, confie-t-elle. Quand on est comédienne, on ne participe pas à toutes les séquences, alors que la réalisatrice doit être tout le temps là. Il y a beaucoup de pression et de tension, il faut avoir un leadership. On est confronté à des centaines de questions auxquelles il faut répondre dans la seconde en sachant que tout peut avoir des répercussions sur le tournage.  On embarque quand même une cinquantaine de personnes avec nous. »

Fidèle à sa personnalité, Astrid Veillon a beaucoup travaillé en équipe, sollicité les avis des uns et des autres, tout en gardant sa personnalité, son point de vue, sa façon de filmer. « J’ai aussi été moins dans le contrôle du jeu d’actrice, avoue-t-elle. Le personnage de Léa Soler et cette série sont tellement dans mon ADN que je me suis autorisée à être en roue libre, à me concentrer davantage sur la réalisation. J’ai travaillé énormément pour être à la hauteur du défi. »

Théâtre en 2024

Il était, en effet, inconcevable à ses yeux d’offrir à la série un épisode final qui ne soit pas digne des sept saisons de Tandem. « Nous n’étions pas dans la nostalgie car nous avions décidé dès la saison 5, quand on a commencé à sentir s’installer une petite routine qui aurait été dangereuse, de s’arrêter après la septième saison, poursuit-elle. Le bilan est plutôt joli, on avait la satisfaction d’avoir mené à bien cette aventure tous ensemble donc on a pris plaisir à se donner à fond, à être dans l’instant pour ne passer à côté de rien. »

Cette idée de replonger les personnages dans leur passé, en utilisant des flashbacks a beaucoup séduit Astrid Veillon qui a adoré l’évolution de Léa Soler au fil des années. Tout comme elle a « pris énormément de plaisir en tant que réalisatrice » De là à revenir rapidement ? « ça ne dépend pas que de moi et il faudra vraiment que le projet me plaise », insiste-t-elle.

En attendant, 2024 sera placée sous le signe du théâtre avec la pièce Si on en parlait ? «l’histoire de quatre femmes qui se retrouvent pour les 50 ans de l’une d’elles et échangent sur leur vie, la peur de vieillir, le couple avec beaucoup de réflexion mais aussi d’humour, explique-t-elle. C’est une pièce féminine, pas féministe, pleine d’humanité. »

 « Tandem, retour vers le passé », ce mardi 2 janvier (21 h).

Avec Vermines, Sébastien Vaniček a parfaitement su tisser sa toile

Vermines vous propose une bonne dose d'adrénaline en cette période de fêtes. Photo Tandem Films

Qui veut s’offrir une petite dose d’adrénaline entre le passage du père Noël et les résolutions de la nouvelle année ? Depuis mercredi, au milieu des films d’animations familiaux, les amateurs des films d‘épouvante ont droit à une belle contre-programmation avec Vermines, le premier long métrage de Sébastien Vaniček.

« Après quinze ans et une cinquantaine de courts métrages, un producteur que j’avais rencontré quelques années plus tôt sur un concours m’a dit qu’il pensait que j’avais fait le tour dans ce registre et a demandé à voir mes pitchs, explique le réalisateur. Il a retenu celui de Vermines, il l’a proposé à Netflix. Au départ, ça devait sortir directement sur la plate-forme et, finalement, ils ont pensé que c’était mieux de le sortir en salle. Il restait à trouver le reste des financements mais tout s’est fait assez rapidement. »

L’histoire : celle d’un jeune de banlieue qui fait l’acquisition d’une araignée sans en connaître sa dangerosité et qui sans le savoir va plonger tout un immeuble dans l’horreur en la ramenant dans sa chambre et en la laissant s’échapper.

Si l’on bascule petit à petit dans de la science-fiction, type Alien, avec la multiplication (en nombres) et la démultiplication (en taille) des araignées, le film nous tient de bout en bout en haleine, proposant quelques huis-clos oppressants, servi par une bande son avec du rap indépendant (Benjamin Epps, Laylow…) qui participe à l’atmosphère de Vermines.

Pour le réalisateur, il n’y avait pas spécialement d’envie de mixer différents genres, films d’horreur et sur la banlieue, mais bien d’offrir le meilleur divertissement possible au public. Avec l’aide de Florent Bernard, Sébastien Vaniček a énormément travaillé les personnages pour faire en sorte de toucher un public le plus large possible. « Comment on vend un film qu’a priori 8 % des Français ne vont pas aller voir à cause de leur phobie des araignées ? Et comment tenir en haleine aussi ceux qui ne les craignent pas. On voulait que les gens s’attachent vite aux personnages et qu’ils aient rapidement plus peur de ce qui va leur arriver que des araignées, qu’ils soient pris par différentes émotions : le rire, l’effroi, les larmes…  On a fait beaucoup de lectures avec les acteurs en amont pour qu’ils s’approprient bien leurs rôles. »

Le casting a été soigné avec l’humoriste Jérôme Niel, à contre-emploi, des jeunes talents comme Théo Christine, la Lilloise Lisa Nyarko, Sofia Lesaffre ou encore Finnegan Oldfield et environ.. 250 araignées qui ont fait bien plus que de la figuration. « C’était plus une question de budget qu’une volonté artistique car mettre de la 3D coûte vraiment cher », précise-t-il. La présence de ces petites bêtes poilues (« qui ont finalement plus peur de nous que nous d’elles ») a néanmoins donné, une force supplémentaire dans le jeu. «  Quand on tourne avec de vraies araignées, l’adrénaline monte plus vite que s’il faut les imaginer », confient les actrices du film, toutes deux arachnophobes au début de l’aventure mais qui ont su se défaire de cette phobie progressivement, au fil des rencontres et échanges avec Karim le dresseur, l’observation puis, enfin, la manipulation. »

Tourné en banlieue parisienne, là où Sébastien Vaniček a grandi, le film tient toutes ses promesses et s’inscrit déjà parmi les références d’un genre qui revient en force sur le devant de la scène.

Vermines, en salle depuis le 27 décembre, réalisé par Sébastien Vaniček. Avec Théo Christine, Jérôme Niel, Lisa Nyarko, Sofia Lesaffre et Finnegan Oldfield. 

Photo Tandem films.

« Une affaire d’honneur » dépeint la passion du duel dans une société en pleine mutation

Le duel, une affaire d'honneur. Photo Guy Ferrandis/Gaumont

L’aptitude de Vincent Perez pour le maniement des armes et son attrait pour les films d’aventure et de cape et d’épée sont connus de tous, alors voir le comédien s’atteler pour son quatrième film comme réalisateur, à une œuvre sur le duel, pratique qui a perduré du Moyen-âge à 1967 (avec un ultime combat impliquant le maire de Marseille Gaston Deferre) n’est pas une surprise.

«J‘en avais envie depuis longtemps, j’étais prêt et il y a eu une sorte d’alignement des planètes avec la découverte extraordinaire de cette période entre 1881 et 1889 où le duel a vraiment fait rage, explique-t-il. Je me permettais de penser qu’il manquait un film sur ce genre-là. C’est, à l’image de la scène du duel dans la grange avec tous ces costumes, un peu le pendant des westerns aux états-Unis. »

Au-delà des scènes de combat parfaitement chorégraphiées avec des comédiens bien entraînés au maniement des armes, Vincent Perez et Karine Silla proposent surtout un film qui décrit la fin d’une époque : « J’aime l’histoire, le rapport au duel mais j’avais envie qu’il y ait aussi un fond de tissu social dans le scénario », précise la scénariste.

« C’est une période fascinante, une époque qui questionne la nôtre et cet affrontement entre deux mondes, poursuit Vincent Perez. Celui d’hier incarné par mon personnage (le colonel Louis Berchere), qui s’accroche à des idées un peu anciennes, et ce nouveau monde avec le personnage féminin de Marie-Rose Astié, une militante socialiste féminine, qui a vraiment existé, qui écrivait dans le journal « La citoyenne », créatrice de la première ligue féminine d’escrime et qui était très connue à l’époque, notamment pour son combat pour le droit de porter le pantalon pour les femmes. »

Doria Tillier est parfaite dans ce rôle, tout comme le reste de la distribution avec un Roschdy Zem, qui amène beaucoup de classe et de noblesse à Clément Lacaze, sans oublier Guillaume Gallienne dans le rôle d’Eugène Tavernier, personnage ayant lui aussi bien existé et étant l’auteur de « L’art du duel », ouvrage de référence des duellistes de l’époque.

« Et puis il y a cette jeunesse qui vient se confronter à travers le rôle d’Adrien Lacaze à la brutalité de ce milieu d’hommes virils avec fougue et pureté, qui fait écho aux jeunes qui viennent nous questionner aujourd’hui sur ce que nous avons fait de leur monde », ajoute Karine Silla. « C’est un film d’époque qui parle à ma génération, confirme Noham Edje (Adrien). Les duels d’hier, c’est l’UFC (Ultimate Fight Championship) d’aujourd’hui avec tout ce public qui vient pour acclamer les combattants. Les conférences de presse où les champions se défient ont remplacé les lettres que l’on s’envoyait à l’époque. »

Réaliser et jouer en même temps, pour la première fois, n’a toutefois pas été une mince affaire pour Vincent Perez : « Je me suis un peu maltraité, sourit-il, notamment en faisant mes scènes en fin de journée quand tout le monde ou presque avait fini ses plans. Quand je jouais, j’avais parfois l’impression de perdre le contrôle du film mais Karine était là pour veiller à tout et en même temps j’étais plus proche des acteurs. On a fait le film rapidement, en 39 jours, il n’y avait donc pas la place pour l’hésitation, j’y suis allé un peu sans filet. »

« Une affaire d’honneur », dans les salles de cinéma, dès ce mercredi 27 décembre 2023, réalisé par Vincent Perez et Karine Silla, avec Doria Tillier, Roschdy Zem, Guillaume Gallienne, Vincent Perez…

Sur le tournage d’Ici tout commence avec Florence Coste

Florence Coste incarne Laetitita, un personnage qui a pris du galon dans Ici tout commence. Photo ITC-TF1

Planète Lille a décidé d’aller régulièrement à la rencontre de comédien(ne)s qui tiennent des rôles récurrents dans différentes séries télévisées pour évoquer leur personnage mais aussi leur parcours et leurs différentes actualités.

Le rendez-vous avec notre nouvelle invitée, Florence Coste, alias Laetitia Rigaut dans Ici tout commence, a eu lieu dans des circonstances particulièrement agréables puisque nous avons eu la chance de pénétrer au sein de l’institut Auguste Armand, début novembre, pour assister à une matinée de tournage de la série à succès de TF1.

Malgré une météo chagrine, la beauté et la magie des lieux ont illuminé cette demi-journée durant laquelle nous avons pu assister, au sein d’une partie de l’équipe technique, au tournage de quelques scènes diffusées ces jours-ci : une discussion tendue entre Deva (Kathy Packianathan) et David (Liam Hellmann) concernant l’addiction de ce dernier à l’alcool mais aussi un passage dans le restaurant du double AA, avec son gigantesque sapin de Noël au milieu de la pièce, ou encore un échange dans les allées du parc entre Laetitia et le nouveau professeur de salle, Stanislas du Chesnay (Hubert Roulleau).

On a également croisé dans les couloirs Billie (Margaux Aguilar), Maya (Alexandra Favalli), Léonard (Thomas Vilan) et Thibault (Felix Pacaut) qui s’apprêtaient, eux aussi, à tourner. Un joli moment ponctué d’interviews dans la pièce qui fait habituellement office de salon pour la famille du directeur, Antoine Myriel (Frédéric Diefenthal).

Julia Roberts en exemple

L’occasion d’apprendre que Florence Coste n’était pas certaine de correspondre au rôle de Laetitia lorsque la première proposition de casting lui est parvenue : «  La description du personnage c’était « cagole et menteuse », ce qui est très éloignée de ce que je suis mais mon agent m’a convaincu d’y aller, j’ai joué le jeu, je me suis maquillée en bleue, j’ai mis un haut léopard et je me suis lancée le défi d’incarner un type de personnage que l’on ne m’avait jamais donné jusque-là », confie-t-elle.

Les essais furent concluants et Florence Coste a rapidement adopté son personnage : « J’ai tout de suite voulu l’humaniser, ne pas en faire une caricature. Pour travailler, j’avais pris comme référence le personnage d’Erin Brockovich (jouée par Julia Roberts), une jeune femme débrouillarde, grande gueule, avec des enfants, au look pas possible. Et puis avec le temps, les auteurs voient ce que l’on propose et vont davantage vers ma nature, ma personnalité. J’essaie d’amener cette énergie, ce côté solaire, sociable. Après, dans la vraie vie, je suis plus discrète et je fais moins de conneries que Laetitia, sourit-elle. C’est un rôle très drôle à jouer qui offre plein de possibilités. »

D’autant que son personnage a gagné des galons au fil des années. D’abord gardienne, elle est aussi devenue assistante de direction et même élève en salle : « Je suis polyvalente, je suis partout », apprécie-t-elle. Ce qui lui permet de multiplier les interactions avec des comédiens qui sont devenus pour certains de vrais amis : « On habite pour certains au même endroit quand on vient tourner, on s’invite les uns chez les autres, on se fait des restaurants. Je suis dans la série depuis trois ans, c’est devenu ma famille du Sud. »

Une entente qui contribue certainement au succès de la série : « Les personnages sont attachants, les relations transgénérationnelles, ça change un peu des thrillers, des séries avec des enquêtes, des morts. Les gens nous laissent d’ailleurs entendre que pour eux c’est un rendez-vous réconfortant, qui fait du bien, qui rythme leur semaine. Et puis il y a une certaine modernité dans ITC, je pense qu’on évoque des sujets parlants pour la jeunesse. »

En mode chanteuse le 6 janvier à Lille

Jouer dans cette série a aussi donné à Florence Coste, l’envie d’en savoir plus sur le milieu de la gastronomie française : « à mon petit niveau, j’essaie d’être plus innovante même si je me contente de recettes basiques et je vais davantage découvrir des restaurants gastronomiques. On n’y va pas juste pour se nourrir mais pour découvrir de nouvelles saveurs, pour l’expérience. C’est un monde à part, très créatif. »

Très à son aise au sein de l’institut Auguste Armand, Florence Coste n’en oublie pas d’explorer d’autres facettes de son métier d’artiste. Elle tourne ainsi au théâtre dans « Titanic » et dans « Les muses », une pièce où quatre œuvres d’arts se réveillent une nuit dans un musée et échangent les unes avec les autres.

Enfin, dès le 6 janvier, le public nordiste pourra découvrir, au Casino Barrière de Lille, une autre facette de son talent puisqu’elle viendra faire admirer ses qualités vocales dans un concert réunissant plusieurs acteurs de séries télévisées, dont son camarade d’ITC Benjamin Douba-Paris, alias Solal, pour des reprises de chansons connues, en solo, en duo ou en collégiale. Un retour aux sources pour une jeune femme qui était allée jusqu’aux « battle » dans The Voice en 2014, dans l’équipe de Jenifer, et qui a aussi participé à de nombreuses comédies musicales (Aladin, Il était une fois Joe Dassin…).

« Ici tout commence », du lundi au vendredi vers 18 h 30 sur TF1. Concert avec des acteurs de série TV, le samedi 6 janvier au Casino Barrière de Lille.