Mask Singer : le phénix démasqué à son tour (spoiler)

Camille Combal, entouré des chroniqueurs de la saison 5 de Mask Singer. PHOTO LAURENT VU/TF1

Le troisième prime de la saison 5 de Mask Singer a permis ce vendredi 28 avril de dévoiler l’identité d’une nouvelle personnalité cachée sous le costume du phénix.

Après le comédien Martin Lamote (le vautour), l’ancienne championne d’escrime Laura Flessel (le canard), André Bouchet, alias « Passe-partout » dans Fort Boyard (la chenille) et le membre du jury de « Danse avec les Stars », Jean-Marc Généreux (le lama), c’est une nouvelle comédienne qui a été démasquée en la personne d’Annie Duperey, qui s’était cachée sous le costume du phénix.

Parmi Les enquêteurs, Michèle Bernier avait été la première à reconnaître l’actrice.

La soirée de vendredi a également été marquée par la venue d’une nouvelle star internationale. Après l’actrice de la série Netflix « La casa de papel » Itziar Ituno (saison 2)  puis la comédienne de « Desperate Housewives », Terri Hatcher, et le chanteur Seal (saison 3) ou encore les comédiens de « K2000 », David Hasselhoff, et de « Beverly Hills », Tori Spelling (saison 4), c’est l’une des « Spice girls », Mélanie Brown, alias Mel B., qui est venue sur le plateau de « Mask Singer » cette année.

Cachée sous un costume de « soleil », elle a rayonné sur le plateau en interprétant « Roar » de Katy Perry.

 

 

« Range ta chambre », l’exposition qui chamboule vos repères à la gare Saint-Sauveur

EXPO Range ta chambre

Jean-François Fourtou, l’artiste qui aime bousculer nos repères et nos  perceptions, comme il l’avait déjà fait il y a quelques années avec ses maisons construites à l’envers, se jouent encore de nous avec sa nouvelle création « Range ta chambre ».

Une exposition ouverte depuis la mi-avril dans un grand hangar (la halle B) de la gare Saint-Sauveur, dans le cadre des animations de Lille 3000, et qui restera visible jusqu’au 8 octobre. Une bonne nouvelle ne venant jamais seule, elle peut se visiter gratuitement du mercredi au dimanche de 12 h à 18 h 30 (dernière limite d’accès).

« J’ai voulu recréer ma première chambre d’enfant, celle que j’occupais dans notre logement parisien, dans le quartier du  Ménilmontant, confie Jean-François Fourtou. Nous l’avons quitté alors que j’avais 5 ans, mais j’ai gardé beaucoup de souvenirs de ces temps-là. Vous allez découvrir tous des objets qui m’étaient familiers mais ils ont été agrandis 6 à 12 fois. Le but est de faire perdre les repères, que les adultes se sentent comme des Lilliputiens. »

Et voilà comment on peut prendre place en famille dans un lit d’enfant de 12 m de longueur et 4 m de large, se retrouver à faire le tour de l’exposition dans un petit train, en passant tout près d’énormes papillons ou encore serrer dans ses bras un ours en peluche format géant.

Un bon moment à partager en famille, à la fois pas trop long et amusant pour les enfants et déconcertant pour les parents.

« Range ta chambre », hall B de la gare Saint-Sauveur, visites gratuites du mercredi au dimanche de 12 h à 18 h 30 (dernière limite d’accès) jusqu’au 8 octobre.

La Maubeugeoise Camille Lou à l’affiche du film « Notre tout petit petit mariage » avec Ahmed Sylla

Notre tout petit petit mariage © François Lefebvre

Très en vue ces dernières années sur le petit écran dans des fictions très réussies comme « Les bracelets rouges », « Le bazar de la charité », « Maman a tort », « Je te promets », « Les combattantes » ou plus récemment « Prométhée », la comédienne maubeugeoise Camille Lou s’efforce également de se faire sa place au cinéma.

Elle partage ainsi actuellement l’affiche du dernier film de Frédéric Quiring, « Notre tout petit petit mariage » avec Ahmed Sylla.  Une production en found footage, une technique qui consiste à donner l’impression que toutes les images proviennent de documents amateurs tournés par certains protagonistes, comme vous avez déjà pu le voir dans certains films comme « Le projet Blair witch » ou plus récemment « Baby-sitting ».

Camille Lou y incarne le rôle de Lou, qui décide avec son compagnon Max (Ahmed Sylla) de se marier pour favoriser une procédure d’adoption mais en se promettant d’organiser un mariage dans la plus stricte intimité, sans famille ni amis, avec uniquement leurs témoins.

Bien évidemment, rien ne va se passer comme prévu et les convives seront plus nombreux et dissipés que ce que les jeunes tourtereaux avaient imaginé, un peu en mode « Very bad trip ».

 

Valhen a pris son envol avec la série de Netflix « Emily in Paris »

VALHEN musique

Les succès, Clément Simpelaere, installé dans les Weppes, a baigné dedans dès l’adolescence avec le groupe PZK et des titres qui ont cartonné comme « Les filles adorent » ou encore « Ce matin va être une pure soirée » en collaboration avec Fatal Bazooka, le groupe de Michael Youn.

Aujourd’hui, si l’aventure a repris avec PZK, Clément Simpelaere a aussi lancé, en parallèle, de nouveaux projets dont celui du groupe Valhen, avec son beau-frère, le Lillois Valentin Sillard. « Je jouais de la guitare dans le groupe Astrophony qu’avait également créé Clément et, peu à peu, je me suis ouvert à davantage de styles musicaux », confie le dernier nommé, qui a alors également travaillé son identité vocale pour endosser le rôle de chanteur.

« On a commencé à écrire en français sur des titres non sortis d’Astrophony, poursuit Clément. Le responsable de notre label nous a mis en relation avec Christian Vié, qui a écrit des textes pour de nombreux artistes dont « Il y a trop de gens qui t’aiment » pour Hélène Segara. Le contact est tout de suite bien passé avec Valentin, il l’a aidé à retravailler ses textes. »

Un premier titre, « C’est vrai », plutôt formaté pop, ayant bien fonctionné, le label V-Dogg a commandé un second titre « Déjà vu », en fin d’année dernière, qui a connu une trajectoire inattendue suite à une rencontre improbable dans un bar lillois. « Notre chanson a été passée plusieurs fois par le patron du bar et une des clientes est venue nous voir en laissant un numéro de téléphone, j’ai rappelé et je suis tombé chez Netflix, indique Valentin. Elle travaillait pour eux, avait aimé la chanson, et voulait l’utiliser dans une série. »

Et voilà comment, « Déjà vu » a intégré la play-list officielle de la série à succès « Emily in Paris » et comment le titre a explosé sur les plateformes de streaming passant de 1 500 à plus de 100 000 écoutes en quelques jours.

Un EP de musique pop, électro, disco est sorti fin janvier, le groupe attend de pouvoir décrocher des premières parties et envisage de participer aux sélections du « Printemps de Bourges » pour aller toucher davantage de monde au niveau national. « Pour sortir un album, il faut soulever des fonds et donc être visible, rappelle Clément Simpelaere. Un EP permet de dire qu’on existe, un deuxième permet de montrer une autre facette et si c’est bien suivi, on peut se permettre d’envisager sortir un album en allant au taper aux portes des majors. »

Un mois de musique pour célébrer le quart de siècle du festival Wazemmes l’accordéon

Mars Brothers Théâtre de la Verrière Lille

« Les festivités débutent dès le samedi 6 mai avec l’incontournable bal du Cheval Blanc, ce bar qui fait guinguette tous les dimanches et qui s’offre une soirée géante dès 20 h avec les Zazous, des fidèles du lieu, qui mettent à l’honneur la chanson française. A ne pas manquer, la traversée de la patronne Monique, sur son cheval blanc, à travers la foule.

Elles se termineront le week-end du 22 au 24 juin avec trois grandes soirées au club Saint-So, au cœur de la gare Saint-Sauveur avec notamment Milady Halfman le vendredi 22 (20 h) ou le quartet anversois de jazz funk Tenorin le samedi 23 (20 h), sans oublier, en conclusion, le groupe Ana and the duorkestra le dimanche 24 (17 h).

Entre ces événements, de multiples concerts et animations. On pense aux deux manifestations auxquelles prendra part le directeur du festival, Claude Vadasz, le vendredi 19 mai (20 h) à la Maison folie de Wazemmes, aux côtés de Dick Annegarn et Loïc Lantoine, où il présentera ses nouvelles chansons, puis au show case du samedi 20 mai (14 h 45) à la médiathèque de Roubaix.

Dans la soirée du 20 mai, douze bars accueilleront douze groupes tandis que, dans le même temps, le DJ Selmarovic mettra le feu à la Maison Folie de Wazemmes.

Comment ne pas citer également le concert du duo Macke-Bornauw à l’église Saint-Pierre Saint-Paul le mardi 23 mai (19 h 30) ou encore le « week-end W » du 27 et 28 mai, qui remplacera l’habituel « Village W ». Pas d’événement en plein air cette année mais un enchaînement de concerts d’artistes locaux mais aussi venus de différents coins d’Europe, dans la salle de spectacle et à l’auberge de la Maison folie de Wazemmes.

Plus de renseignements et billetterie auprès des Flonflons 03 20 22 12 59 et sur le mail communication@flonflons.eu