James Denton, tête d’affiche de Danse avec les stars, incertain pour cause de blessure

Il y a quelques semaines, lors de la soirée d’officialisation des personnalités choisies pour cette édition 2024 de Danse avec les stars, James Denton s’était inquiété d’éventuelles difficultés liées à son manque de souplesse des hanches, en particulier pour les danses latines. L’acteur américain de 61 ans, popularisé, il y a vingt ans, par son rôle dans la série à succès Desperate Housewives, ne se doutait alors pas que c’est une déchirure à l’ischio-jambier qui allait l’empêcher de danser lors du premier prime de la saison et remettre en cause sa participation à la suite de l’aventure.

Un coup dur pour la production et TF1 qui ont fait de James Denton, alias Mike Delfino, le plombier sexy, petit ami de Susan Mayer (Teri Hatcher), l’une de ses têtes d’affiche, quelques années après avoir déjà accueilli Pamela Anderson.

Convaincre le comédien de rejoindre le casting n’avait déjà pas été une mince affaire : « Quand ils m’ont approché, j’ai d’abord dit non car je ne suis pas danseur et je voyais surtout une occasion de me mettre dans un embarras terrible. À mon âge, il y a beaucoup de choses qui deviennent effrayantes, explique-t-il. C’est finalement ma fille de dix-huit ans qui m’a dit que je devais vraiment le faire alors j’ai rappelé la production pour dire oui. »

James Denton a aussi été convaincu par la qualité de l’émission : « J’ai regardé quelques vidéos sur Youtube des saisons précédentes et j’ai vu un super show, bien plus grand qu’aux Etats-Unis. » Il n’a bien évidemment pas manqué d’informer son ancienne partenaire Teri Hatcher avec laquelle il a tourné un téléfilm de Noël : « Elle était très jalouse, elle aussi aurait voulu venir à Paris », sourit-il.

Le comédien a rapidement pu constater depuis son arrivée en France que sa cote de popularité était restée intacte malgré le temps qui passe : « Le rôle de Mike a totalement changé ma vie, avoue-t-il. Avant, on ne me proposait que des rôles de méchants mais en décidant que Susan Mayer allait tomber amoureuse d’un homme comme moi, les scénaristes ont changé mon image, j’ai été beaucoup plus reconnu, respecté. Je suis l’un des passagers du train Desperate Housewives, une énorme série avec un super casting. ça a été un carton partout dans le monde et ça m’a permis de payer les études de mes enfants. Je serai éternellement reconnaissant. »

La notoriété acquise grâce à la série pourrait aussi l’aider, si son corps le lui permet, dans l’aventure Danse avec les stars : « J’espère fortement le soutien du public français, sourit-il. Si les gens peuvent regarder, se dire « oh, c’est Mike Delfino » et trouver ça divertissant, ce sera super. » L’homme mise moins sur ses qualités de danseurs : « Je suis au niveau zéro, ça va être un challenge pour ma partenaire (Candice Pascal), annonce-t-il. Je suis musicien donc pour le rythme ça devrait aller, pour le reste il va falloir travailler très dur d’autant que les passages sont deux fois plus longs que dans la version américaine où ça ne dure qu’une minute. »

Alors, James Denton apte ou non à enflammer la piste de danse ? Verdict ce vendredi 23 février.

James Denton, lors de la soirée de lancement de Danse avec les stars. Photo Laurent Vu/TF1
James Denton a retrouvé Teri Hatcher dans un téléfilm de Noël. Photo Hallmark Channel

Kathy Packianathan : « ITC est une très bonne école pour une comédienne »

Kathy Packianathan, alias Deva, dans Ici tout commence. Photo ITC-TF1

Planète Lille a décidé d’aller régulièrement à la rencontre de comédien(ne)s qui tiennent des rôles récurrents dans différentes séries télévisées pour évoquer leur personnage mais aussi leur parcours et leurs différentes actualités.

C’est dans le cadre somptueux du château de Calvières, situé à Saint-Laurent d’Aigouze dans le Gard, que nous avons eu le plaisir de discuter, il y a quelques semaines, avec Kathy Packianathan, arrivée dans la série en 2021 pour incarner Deva Syed, une nouvelle élève de la prestigieuse école de cuisine dans Ici tout commence sur TF1.

« Je regarde très peu la télévision donc je ne connaissais pas la série mais quand j’ai su que j’allais passer le casting, je me suis renseignée en regardant quelques épisodes », se souvient-elle. Séduite dès le départ par les caractéristiques de son personnage, « son humanité, sa sensibilité, son écoute, sa volonté de toujours faire au mieux », Kathy Packianathan se réjouit de l’évolution de Deva. « Elle était réservée, un peu à l’écart au départ mais désormais elle se lâche, elle parle davantage, elle s’intègre de plus en plus dans le groupe ».

S’il semble que la jeune femme s’apprête à quitter (provisoirement?) la série, elle n’a eu de cesse d’en louer ses mérites : « C’est une très belle école pour une comédienne, assure-t-elle. Une quotidienne, ça va très vite, il faut s’adapter, apprendre à composer avec son humeur du jour mais on travaille avec des gens incroyables, très bienveillants. Les scénaristes réalisent un travail de fou, je trouve qu’il y a une vraie qualité de jeu. Les personnages sont attachants et on essaie de les défendre du mieux possible. »

Les raisons de son départ, visiblement mi-mars à l’antenne, ne sont pas encore connues mais Kathy Packianathan nous confiait lors de notre entrevue ne pas s’inquiéter du sort que lui réservaient les auteurs : «  Je suis toujours curieuse de connaître les intrigues quand je reçois les textes mais mon premier réflexe n’a jamais été de me demander ce qui allait m’arriver, confie-t-elle.

La comédienne, déjà aperçue par le passé dans Camping paradis et plus récemment dans

la fiction à côté de ses pompes avec Jarry, a appris à gérer sa notoriété croissante avec plaisir : « Nous sommes arrivés à plusieurs en même temps et je n’étais donc pas seule dans cette aventure. Au début, c’est un peu étrange mais les gens ont toujours été gentils, bienveillants et c’est très agréable de rendre les gens heureux lorsqu’ils viennent à notre rencontre. »

Sollicitée pour d’autres projets à la télévision mais aussi au cinéma, après être passée par la case théâtre en début de carrière, Kathy Packianathan n’a jamais eu peur d’être étiquetée actrice de séries quotidiennes et se réjouit à l’idée de « rencontrer des gens et de défendre différents rôles ». Que ce soit dans Ici tout commence ou ailleurs.

Retrouvez sur notre site, les autres articles de cette rubrique avec Julien Aluguette, Florence Coste (Ici Tout commence), Franck Monsigny, Adrien Rob et Juliette Mabillat (Demain nous appartient), Alban Aumard, Franck Adrien et Maxence Victor (Un si grand soleil), Amélie Etasse (Scènes de ménage) ou encore Charlotte Gaccio (Sam, Demain nous appartient).

Photo ITC/TF1

Les soignantes jonglent désormais autant avec les mots qu’avec les maux

Révélées dans l'emission "La France a un incroyable talent", Les soignantes ont déjà sorti un premier album. Photo Julien Theuil/M6.

Elles ont offert, il y a quelques mois, un moment d’émotion exceptionnel lors de leurs auditions dans l’émission de M6, La France a un incroyable talent, réalisant la prouesse de faire pleurer quasiment tout le jury et décrochant un golden buzzer d’Hélène Segara. Même, si Abigaël, Aïcha et Amandine, trois membres du corps médical et du groupe Les soignantes, n’ont finalement pas remporté la finale, elles avaient déjà tout gagné suite à ce premier passage.

« C’est un moment qui est passé dans plusieurs émissions de télévision et on a vite senti que ce n’était pas qu’un moment musical, il s’est créé une ferveur derrière nous que nous n’avions pas anticipé, confie Abigaël Debit, médecin urgentiste depuis une quinzaine d’années. Nous avons eu une vraie connexion avec les gens qui ont entendu notre message et la nécessité d’avoir un système de santé digne de ce nom. »

Un coup d’accélérateur brutal pour ce trio composé par Loïc Manwel, lui-même infirmier-cinéaste, qui avait eu l’idée de réunir des soignantes qui chantaient bien pour former un groupe. « Tout a été très vite, on avait maquetté deux titres, tourné un clip et puis on a signé avec une grande maison de disque et on a fait cette émission sur M6. Warner a vite vu qu’il y avait un engouement et comme on sait que la durée d’un buzz est souvent limité, il fallait vite proposer quelque chose avant que les gens ne passent à autre chose. Avant même la diffusion de la finale de La France a un incroyable talent, l’album était prêt et ça se vend plutôt bien. »

Tellement bien même qu’une tournée est envisagée en fin d’année et qu’un concert est déjà prévu à l’Alhambra à Paris le 23 mars. En attendant, Les soignantes seront en show case et dédicaces au Cultura de Villeneuve-d’Ascq, ce samedi 24 février (16 h à 18 h).

Autant dire que les trois jeunes femmes, qui ne souhaitent pas stopper leurs activités dans le monde médical doivent composer avec un emploi du temps chargé : « On ne veut pas s’arrêter, c’est notre identité, c’est une vocation. Je reste médecin urgentiste mais je ne fais plus d’heures supplémentaires, indique Abigaël Debit. Il m’arrive d’assurer une garde de 24 heures et d’enchaîner avec le studio, des répétitions ou de la promotion mais on vit un rêve, on est tellement galvanisées par l’amour que l’on reçoit que l’on ne ressent pas trop la fatigue. »

La jeune femme ne débarque toutefois pas en terrain totalement inconnu puisque la musique a toujours fait partie de sa vie : « Disons qu’avant, tout était très cloisonné, poursuit-elle. J’ai suivi un cursus musique-études de mes 5 ans jusqu’au baccalauréat. J’ai arrêté quand j’ai fait médecine puis j’ai repris en quatrième année avec du gospel, du jazz, de la soul. J’avais même sorti un album en 2012, j’ai fait beaucoup de concerts, l’Eurovision avec Sébastien Tellier, j’ai travaillé aussi avec Emmanuel Moire et j’ai souvent été dans les choeurs, ce qui m’a permis de faire des grandes salles comme à Bercy. Après, ce n’est pas la même chose d’être sur le devant de la scène mais ça ne me fait pas peur, j’ai même hâte d’y être. »

Sollicitée par le passé pour tenter sa chance dans The Voice, Abigaël Debit était initialement réticente à s’inscrire dans un télé-crochet. Elle a accepté pour porter la cause du personnel médical sans imaginer tout ce qui découlerait de cette aventure.

De plus en plus reconnue par ses patients, elle a appris à vivre davantage au jour le jour, sans trop se projeter. Seule certitude, elle souhaite comme ses camarades mettre encore plus sa patte sur les futurs projets : « Pour le premier, il fallait aller assez vite donc il y a des reprises et quelques inédits, plusieurs auteurs nous ont proposé des textes. Il y a aussi une chanson co-écrite par Aicha et Julien, Tant qu’on a le temps d’être. Comme nous sommes toutes autrices et compositrices, on espère proposer encore plus de créations dans le prochain album. »

Les soignantes seront ce samedi 24 février de 16 h à 18 h au Cultura Villeneuve-d’Ascq pour un show case et des dédicaces.

Photo Nathalie Guyon. FTV

Elsa Esnoult déchaîne toujours autant les passions

Elsa Esnoult sera sur la scène du théâtre Sébastopol. Photo Tintin reporter

Lors de sa venue au concert organisé par la radio Mona FM à Armentières au mois de septembre, Elsa Esnoult avait encore suscité un incroyable engouement. Au-delà de son public nordiste, des dizaines de personnes venues de toute la France avaient fait le déplacement spécialement pour la voir alors qu’elle était là pour interpréter trois chansons et non pour un spectacle complet.

« C’est toujours quelque chose de magique, d’inexplicable, avoue l’intéressée. Je suis émue heureuse, comblée, les gens sont tellement exceptionnels, authentiques, je reçois énormément d’affection et pourtant j’ai toujours la trouille que le public ne soit pas au rendez-vous. »

Pour son nouvel album « 7 », qui sortira le 23 février, l’artiste n’a pas de soucis à se faire, tous les indicateurs sont au vert. « L’accueil a été très bon pour le single et le mini-EP et l’album était déjà numéro 1 en pré-commande », sourit-elle.

Des nouvelles chansons écrites par Jean-François Porry (alias Jean-Luc Azoulay), Gérard Salesses et par elle-même figurent sur ce nouvel opus de 22 titres. « Je garde le style que les gens connaissent et aiment mais j’essaie à chaque fois, par petites touches, d’amener des sonorités différentes, précise-t-elle. Je voulais mettre un peu de danse et d’électro, de la tropical house, mes propres compositions avec un son plus rock, plus de puissance. Je me rapproche de ce que j’aime, de ce que je préfère même si j’apprécie toujours de chanter l’amour. »

Après une tournée triomphale aux Etats-Unis et au Japon, l’artiste retrouve donc un public qui la suit sur scène mais aussi devant son petit écran, Elsa Esnoult étant toujours au casting des Mystères de l’amour, une série diffusée sur TMC. « Je vis mon rêve, je peux faire de la comédie et de la musique, je n’ai pas besoin de choisir, apprécie-t-elle. J’ai commencé très jeune la musique, c’était mon rêve mais aujourd’hui c’est une évidence de faire les deux. »

La protégée de Jean-Luc Azoulay, le producteur qui a mené au succès Dorothée et Hélène Rolles, a même eu l’honneur récemment de tourner dans un épisode de la mythique série américaine Amour, gloire et beauté : « Ils ont contacté TF1 parce qu’ils cherchaient quelqu’un en France et parmi les candidates, j’ai visiblement tout de suite retenu leur attention. C’était vraiment génial, je n’en reviens toujours pas. »

Passionnée et désireuse de multiplier les expériences, Elsa Esnoult ne cache pas son attirance pour le cinéma : « Il y a deux projets en cours mais dans le cinéma tout prend du temps, je ne peux pas en dire plus pour l’instant, si ce n’est que je n’ai pas encore commencé de tournage. »

Elsa Esnoult est en concert ce mardi 20 février (20 h) au théâtre Sébastopol de Lille. Son nouvel album « 7 » sort le 23 février.

Photo tintin reporter.

Danse avec les Stars soigne son casting pour son grand retour

Un casting de choix a été réuni pour cette treizième saison. Photo ADELO/TF1 production

Les fans l’ont longtemps attendue mais la treizième saison de Danse avec les stars va, enfin, démarrer ce vendredi 16 février (21 h 10) sur TF1. Un peu plus de quatorze mois après le sacre de Billy Crawford avec sa partenaire Fauve Hautot, douze nouvelles personnalités vont envahir la piste de danse.

Si Camille Combal est maintenu à la présentation, le jury, en revanche, évolue. Fauve Hautot repasse de l’autre côté de la barrière et rejoint Chris Marques, juré inamovible depuis la saison 1, mais aussi Jean-Marc Genereux, autre membre historique, qui signe son grand retour après quelques années d’absence, et une petite nouvelle : la danseuse québecoise Mel Charlot, qui a collaboré aux shows de stars comme Beyoncé, Pharrell Williams et Kanye West.

Du côté des personnalités, la production a voulu revenir aux fondamentaux en attirant des stars qui parlent à toute la famille. Et sur ce point, le pari semble plutôt réussi.

La jeune génération pourra s’y retrouver avec les humoristes Ines Reg et Roman Doduick ou encore le chanteur Black M et bien sûr l’une des stars des réseaux sociaux Nico Capone. Venu cette fois sans sa femme Daniela, il aura le plaisir d’évoluer avec la danseuse nordiste Inès Vandamme.

Les plus de trente ans connaissent sans doute davantage les chanteuses Natasha Saint-Pier et Coeur de Pirate ou encore les animatrices télé Cristina Cordula et Caroline Margeridon.

Comme souvent une miss France fait partie du casting et cette fois il s’agit de Diane Leyre, élue en 2022. La dynamique professeur de chant de la Star Academy, Adeline Toniutti est également de l’aventute, tout comme Keiona, lauréate de Drag Race France.

Enfin, cerise sur le gâteau, après Pamela Anderson en 2018, une autre star de série américaine rejoint DALS en la personne de James Denton, alias Mike Delfino, le beau plombier qui a fait chavirer le cœur de Suzanne (Terri Hatcher) dans Desperate Housewives.

Bonne nouvelle pour les candidats, il n’y aura pas d’élimination sur les deux premiers prime, où six personnalités passeront à chaque fois , mais, attention, le candidat ayant eu la moins bonne note lors de ces deux émissions sera en danger pour le troisième rendez-vous de la saison.