Eve Gilles à la relance dans Danse avec les Stars

En difficulté lors du dernier prime, Eve Gilles et Nino Mosa vont tenter de repartir de l'avant ce vendredI. Photo Pixeline/TF1

Si devenir miss France 2024 pouvait avoir des allures de conte de fées pour la Nordiste Eve Gilles, son incursion dans l’univers de Disney lors du dernier prime de l’émission Danse avec les stars sur TF1 n’a, en revanche, rien eu de magique. Sa performance en rumba avec son partenaire Nino Mosa sur une musique de Pocahontas lui a même valu de se classer à l’avant-dernière place.

Pas très réjouissant pour une jeune femme qui annonçait à son entrée dans le programme « vouloir casser la malédiction des Miss », aucune n’ayant remporté le concours jusque-là. Eve Gilles figurait même parmi les candidats qui s’étaient auto-attribués l’une des meilleures notes. « Je crois que j’ai répondu que je valais sans doute 7/10, je me suis peut-être surestimée pour flatter mon ego ou pour m’obliger à me donner aux entraînements afin de justifier cette note », avait-elle expliqué lors du lancement de l’émission.

Passionnée de modern jazz, une discipline qu’elle a pratiqué quelques années, donnant même pendant quelques années des cours à des jeunes filles de 6 à 12 ans dans son club de Wormhout, la jeune femme espère quand même aller assez loin dans la compétition. Fan de Dirty dancing , c’est néanmoins sur la musique culte d’un autre film, Grease, qu’elle tentera donc de se relancer, ce vendredi, dans un prime dédié au cinéma et aux séries puisqu’elle devra séduire le jury en se glissant dans la peau d’Olivia Newton-John sur le titre You’re the one that I want. Eve Gilles souhaite profiter de l’expérience Danse avec les Stars pour se montrer au grand public sous un autre jour. « Je me suis dit que ce serait une opportunité de me faire connaître autrement, que les gens puissent découvrir ma personnalité. Mon plus grand défi sera de ne pas bloquer mes émotions. » Ce sera aussi l’une des clefs pour durer dans l’aventure.

Danse avec les stars, le vendredi à 21 h 10 sur TF1.

 

Lambert Wilson privilégie désormais les projets musicaux

Lambert Wilson sera dimanche au Nouveau-Siècle avec l'orchestre national de Lille. (c) Igor Shabalin

Attendu ce dimanche 16 mars (16 h) au Nouveau Siècle à Lille pour être récitant, au coeur de l’orchestre national de Lille, sur l’œuvre de Schoenberg, « Un survivant de Varsovie », le comédien Lambert Wilson nous a confiés sa passion pour la musique et la difficulté de cet exercice.

Vous aviez déjà tenu ce rôle de récitant pour la même œuvre en 2001 avec déjà l’Orchestre national de Lille. Quels souvenirs en gardez-vous ?

« Je l’ai fait avec Jean-Claude Casadesus et pour tout dire quand j’ai revu la partition, que j’ai réécoute les enregistrements, je me suis aperçu que je n’avais pas tant de souvenirs. Je me rappelais évidemment du sujet, du texte, de la difficulté rythmique de la partition mais j’avais l’impression que c’était beaucoup plus long, qu’il y a des choses que je n’avais pas spécialement travaillées. C’est un nouveau chef, des éléments de l’orchestre sont différents donc ça va être une autre aventure. Ce qui est intéressant, c’est que j’ai travaillé avec l’Orchestre de Lille, l’un des meilleurs de France, il n’y a pas si longtemps. C’était juste avant l’interruption du Covid, sur un spectacle autour du compositeur allemand Kurt Weill, qui a justement a été très influencé par Schoenberg. C’est vraiment une école viennoise très spécifique. »

Parlez-nous de ce rôle de récitant ?

« C’est un peu particulier, super court, très rythmé sur la partition. Le texte est en anglais et en allemand. En anglais, c’est le récitant qui parle de la personnification, la voix de ces juifs du ghetto de Varsovie et puis c’est interrompu par la voix extrêmement brutale du SS qui veut les envoyer dans la chambre à gaz. C’est l’histoire de cette prière qui s’empare de tout le monde et qui se termine par ce chant antique, le Shema Israël. C’est une œuvre particulière, un peu coup de poing. »

Est-ce que tenir un tel rôle nécessite de se replonger dans les livres d’histoire ?

« Non, nous sommes suffisamment nourris par les célébrations du 80e anniversaire de la découverte du camp d’Auschwitz , par les films. Il se trouve que récemment, j’ai eu un grand choc cinématographique. Parfois, on passe à côté d’énormes chefs-d’œuvre et on ne sait pas pourquoi on ne les a pas vus. Je viens seulement de regarder La liste de Schindler. Ce n’est pas Varsovie, c’est un autre ghetto, mais c’est la même chose. C’est la même horreur. Le film est vraiment fabuleux. Il donne tellement la sensation d’y être. Steven Spielberg a filmé les gens d’une façon tellement proche. On ressent ce danger permanent de la mort, cette injustice absolue. »

Comment fonctionnez-vous avec le chef d’orchestre ?

« Pour le récitant, ça ne rigole pas, il faut lire la musique. Il faut être absolument à l’aise sur la partition. Il faut rassurer le chef, parce que c’est placé très spécifiquement par les compositeurs. La parole est dite et rythmée d’une façon très spécifique. Il y a des intonations. C’est le fameux parlé-chanté, le Sprechgesang, que Schoenberg utilisait beaucoup dans des œuvres comme « La nuit transfigurée ». La mission, c’est avant tout de rassurer le chef et de lui dire, ne vous inquiétez pas pour moi, je maîtrise la situation. Après, on devient instrumentiste, on devient soliste, on est une voix.

Certaines œuvres nécessitent une complicité entre le chef et le récitant. Il y a des chefs qui aiment cette complicité, et il y a des chefs qui sont complètement fermés. Généralement, les chefs d’orchestre n’aiment pas les parties avec voix parlées. Pour vous dire clairement, ça les emmerde un peu. D’abord, ils sont obligés d’attendre et, en plus, parfois, ils ne comprennent pas le langage. Ils attendent que ce soit terminé pour faire leur musique. Et puis, il y en a d’autres qui sont passionnés par le drame, c’est-à-dire par l’attention dramatique que l’acteur peut créer, et aussi par la musique que l’acteur peut créer. C’est là où, moi, j’apporte ma formation de chanteur et d’écouteur de musique. »

Vous faîtes régulièrement ce type d’exercice ?

« Je donne beaucoup la priorité à ces projets-là. D’ailleurs, ça devient problématique. J’accepte tellement souvent ces propositions musicales que mes agents de cinéma sont parfois un peu gênés car je suis peu disponible pour des tournages mais j’adore être avec des musiciens et surtout avec un orchestre harmonique. Quand je suis avec les musiciens, et à fortiori avec les chefs d’orchestre, j’ai la sensation que ce sont des gens qui ont énormément travaillé pour en arriver là. S’ils sont dans l’orchestre et solistes, c’est qu’ils sont vraiment à un certain niveau alors que chez les acteurs, vous pouvez être en première ligne parce que vous êtes beaux, dans l’air du temps. Vous pouvez ne rien connaître de l’histoire du théâtre, ne rien savoir de l’histoire du cinéma et être propulsé sur le devant de la scène. Dans mon quotidien en tant qu’acteur, je fréquente des gens qui n’ont pas le bagage qu’ont les musicien et pourtant ces derniers sont généralement plutôt dans l’humilité que dans l’orgueil. »

La montée de l’antisémitisme a-t-elle participé à votre envie de participer à ce projet avec l’orchestre national de Lille et avez-vous l’espoir de faire passer quelques messages ?

« Non car ça fait très longtemps que les contrats ont été signés. C’est vrai que c’est un sujet de nouveau très préoccupant mais je ne suis pas arrivé là pour ces raisons. En revanche, le fait d’être dans ce contexte est une occasion de se dire que ça a d’autant plus d’intérêt de faire réfléchir. Je vais peut-être faire une pièce qui traite du problème de l’antisémitisme, de l’antisionisme, autour d’un personnage et de toutes ces questions qui sont très brûlantes en ce moment. »

Concert symphonique, « Un survivant de Varsovie », dimanche 16 mars (16 h) au Nouveau Siècle à Lille.

Des investisseurs supplémentaires dans la « Tribee » de Cécile Flament ?

Cécile Flament tente de convaincre des investisseurs ce mercredi sur M6 dans l'émission Qui veut être mon associé Photo Satisfy/M6

Les parents sont censés être des exemples pour leurs enfants mais nos chères têtes blondes peuvent parfois aussi être des sources d’inspiration pour les adultes. Ce fut le cas pour la Lilloise Cécile Flament, originaire de Saint-Josse-sur-mer, que les téléspectateurs de M6 découvriront ce mercredi 12 mars (21 h 10) dans l’émission « Qui veut être mon associé ? »

Ancienne directrice des ressources humaines dans une entreprise textile, elle a, en effet, décidé en février 2020 de fonder sa propre entreprise, « Tribee », la seule cagnotte en ligne qui remplace les commissions par un don à une association. « L’idée est née en voyant que lors des fêtes d’anniversaire avec les copains d’école, les enfants recevaient plusieurs cadeaux en double, explique-t-elle. J’ai pensé qu’avec une cagnotte en ligne, ça éviterait ces petits soucis et ça permettrait à l’enfant de choisir le cadeau qui lui ferait plaisir ». La décision de transformer les commissions en don pour les associations est aussi issue d’un constat lié aux enfants : « Dès l’école primaire, ils ont envie d’agir à leur échelle en mangeant moins de viande, en faisant moins de déchets. Je me suis dit que c’était une occasion de les sensibiliser à la solidarité et en ce qui me concerne c’était important de donner du sens à ce que je faisais. »

Si les cagnottes en ligne de « Tribee » ne se limitent évidement pas aux fêtes d’anniversaire des enfants et séduisent de plus en plus d’entreprises, ce sont, en revanche, exclusivement des associations qui œuvrent en faveur de la jeunesse qui ont été retenues par Cécile et son équipe. « On en a choisi treize, de petite ou moyenne taille, que l’on accompagne pour une durée de trois ans, précise-t-elle. Comme il existe énormément d’associations, on a décidé de se tourner vers celles qui agissent dans trois domaines : l’éducation, l’environnement et la santé ».

Les donateurs optent pour celle de leur choix mais le bénéficiaire de la cagnotte garde la possibilité d’en désigner une autre au final. Depuis janvier 2023, ce sont ainsi plus de 1,8 millions d’euros qui ont été reversés à ces associations. Une vraie réussite qui permet à notre Lilloise de passer devant les caméras de M6 pour l’émission « Qui veut être mon associé ? » : « On avait candidaté sans succès à plusieurs reprises et puis j’ai rencontré quelqu’un qui m’a dit que l’émission recherchait des femmes qui ne sont pas basées à Paris. On a postulé une nouvelle fois et, là, nous avons été retenus. »

Cécile Flament a ainsi fait face le 8 octobre à cinq investisseurs avec seulement une minute trente à sa disposition pour leur présenter « Tribee » et les convaincre de mettre 300 000 euros contre 10 % de la société. Verdict ce mercredi 12 mars.

« Qui veut être mon associé ? », ce mercredi 12 mars (21 h 10) sur M6.

Aâma, un quintet jazz ouvert sur les musiques du monde

Le groupe Aâma sera en concert ce vendredi 14 mars à Mons en Baroeul. (c)Adèle Boterf

Une évidence, presque une révélation : ce sont ces sentiments qui viennent en premier lieu à l’esprit des membres du quintet jazz Aâma (qui signifie « commun » ou « global » en Arabe) lorsqu’il s’agit d’évoquer la création, en 2023, de ce groupe lillois qui ne cesse de monter en puissance.

Emma Prat (chant), Bertrand Maïlar (guitare), Julien Girard (piano), Sami Foukani-Descamps (contrebasse) et Xavier Pernet (batterie, percussions) avaient l’habitude de se croiser sur les scènes régionales avec leurs projets musicaux respectifs. Certains avaient même déjà joué ensemble occasionnellement mais ce n’est qu’en 2023 qu’une association durable s’est concrétisée. D’abord à trois avec Emma, Bertrand et Julien avant que Xavier et Victor ne rejoignent rapidement le projet pour chanter des reprises de morceaux qu’ils appréciaient les uns, les autres.

Le vrai déclic a eu lieu sur un concert à La Canopée à Lille. « Ce soir-là, il s’est passé quelque chose de très fort, difficile à décrire mais qui fait qu’on a senti qu’il fallait qu’on reste ensemble. Il y a un vrai lien humain qui s’est créé entre nous », précise Julien Girard. Le guitariste Bertrand Maïlar se souvient d’une atmosphère unique : « On n’avait vraiment jamais vécu un truc aussi fort musicalement. Les gens dans le bar se sont levés à la fin, il y avait une sorte de transe, des réactions très enthousiastes, inhabituelles, de gens qui nous disaient « Il faut que vous sortiez des bars et que vous fassiez des scènes ». Que ce soit entre nous ou avec le public, cette soirée a été très spéciale.

Le feeling étant clairement au rendez-vous, le quintet a décidé de poursuivre l’aventure : « C’est allé assez vite dans la phase d’écriture et de composition durant l’été 2023, indique Emma Prat. On a tout de suite voulu enregistrer nos titres en autoproduction. Nous sommes allés sur pas mal de tremplins, on a remporté le Golden Jazz Trophy, on a été lauréats régionaux de Jazz à Vienne. On a fait pas mal de concerts en 2024, on a sorti un premier EP en mai. On a eu la chance de jouer énormément pour un premier projet avec un groupe tout récent. »

Un quintet jazz qui se définit comme « solaire et hypnotique, alchimique et chamanique », tout un programme ! « On a tous un parcours, une formation plutôt jazz mais on est ouvert à beaucoup de choses », souligne Bertrand. « J’avais envie que de la voix prenne une autre place que dans mes projets précédents, qu’elle soit moins au centre de tout, qu’il y ait aussi du non verbal, confie Emma. Avec une batterie, une contrebasse, une guitare électrique et un piano, il y a un son  qui naît déjà un peu spontanément, naturellement. »

Aâme explore également les sonorités orientales, africaines : « On aime aller piocher des idées de rythmes dans les différentes cultures, poursuit-elle. De mon côté, je vais même vers des musiques d’Amérique latine et centrale sur un autre projet »

Chacun amène sa touche, sa sensibilité, ses envies. « On essaye de défendre l’identité de chacun, insiste Julien. On n’écrit pas toujours tout ensemble, on se partage la composition. On teste les morceaux, on les transforme. Il n’y a pas une méthode, un process type, précise Julien. On se fait confiance même si on peut parfois débattre très longtemps mais dans un groupe de musique, c’est comme partout : On essaie, on croit avoir raison ; parfois on se trompe et on se rend compte que c’est un autre qui était sur le bon chemin. L’essentiel c’est qu’au final, ça sonne bien et que ça parle à tout le monde. »

Un premier album est en cours de réalisation. « On avance bien, on est plutôt efficace, on a déjà neuf morceaux. On en testera certains sur nos différents concerts ces prochaines semaines, annonce Emma. Nous avons la chance d’être accompagnés par une productrice. Lorsqu’on démarche des salles, il y a du répondant, j’ai l’impression que les gens nous ont identifiés. L’étape suivante, c’est de se faire connaître aussi hors de la région.»

Aâma sera en concert ce vendredi 14 mars (20 h), salle Marie-Curie à Mons-en-Baroeul ; le mercredi 26 mars (19 h 30) au Sunset-Sunside à Paris ou encore le samedi 29 mars (20 h) au centre musical Les Arcades à Faches-Thumesnil.

Dans Carpe Diem, Samuel Le Bihan passe des barreaux au barreau

Samuel Le Bihan dans la peau d'un avocat ayant appris son métier en prison. Photo François Lefebvre / Escazal /TF1

HPI avec Audrey Fleurot, Master Crimes avec Muriel Robin, Mercato avec Arnaud Ducret, Mademoiselle Holmes avec Tom Villa, Commandant Saint-Barth avec Florent Peyre, Le fil d’Ariane avec Chantal Ladesou Le négociateur avec François-Xavier Demaison, Panda avec Julien Doré ou plus récemment Joseph avec Lucien Jean-Baptiste, TF1 dégaine régulièrement de nouvelles séries policières incarnées par une personnalité. Ce lundi 10 mars (21 h 10), c’est au tour de Samuel Le Bihan d’entrer en piste avec Carpe Diem, où le comédien se glisse dans la peau d’un homme fraîchement sorti de prison, où il a passé dix-sept ans pour un crime, celui de sa femme, qu’il n’a pas commis. Dix-sept longues années durant lesquelles il en a profité pour étudier le droit et devenir avocat.

Des barreaux au barreau, le personnage de Tom Villeneuve est né d’un désir du comédien. « J’avais envie d’un personnage d’un peu enlevé, d’un truc où l’on s’amuse, un texte avec beaucoup de ruptures, confie Samuel Le Bihan. Je voulais retrouver le ton des comédies des années 1970 comme Le sauvage avec Yves Montand et Catherine Deneuve ou encore les films avec Jean-Paul Belmondo, Jean Rochefort ou Jean-Pierre Marielle, des choses où l’acteur a de la verve, de l’allure, de l’éloquence. »

Les auteurs, Julien Guérif et Pierre Isoard ont bien compris sa requête en créant ce personnage atypique : « Il est un peu roublard, il a un petit côté voyou sympathique, un culot incroyable. Il est d’une liberté absolue, poursuit le comédien. Il n’a plus rien à perdre puisqu’on lui a tout pris. Il se permet tout et c’est ce que je trouve plaisant, c’est une liberté qu’on aimerait voir mais qu’on ne se permet pas car on a des choses à faire, des engagements, des responsabilités. »

Une forme de légèreté sur certains aspects qui contraste néanmoins avec deux quêtes bien plus graves : celle de trouver le véritable meurtrier de sa femme et celle de renouer avec une fille devenue une jeune femme et qui l’accuse de l’avoir privée à la fois d’une mère et d’un père. « D’un côté, il goûte pleinement sa liberté retrouvée et fait de chaque moment un instant de bonheur, il se concentre sur ce qui est beau, sur ce qu’il peut faire de bien mais il y a a aussi sa quête personnelle qui est dure. »

Le ressort comique de la série tient, par ailleurs, à sa confrontation avec les autres personnages du casting et notamment celui de la capitaine de police Alice (jouée par Barbara Schulz) : « On avait déjà fait du théâtre ensemble, une pièce plutôt sérieuse sur la naissance de la psychanalyse. Je ne la connaissais pas dans la comédie et j’ai adoré parce qu’elle comprend tout de suite ce que vous êtes en train d’envoyer et elle répond immédiatement en inventant quelque chose de drôle derrière. »

Samuel Le Bihan, habitué à la récurrence avec son personnage d’Alex Hugo, qui revient depuis dix ans, se réjouit d’évoluer dans un autre registre. « Alex Hugo, c’est un taiseux, un peu taciturne, sombre, solitaire. Là, Tom est quelqu’un de bien plus sociable, drôle ». Une suite est-elle déjà dans les tuyaux ? « On a quelques idées, on verra si ça fonctionne, si on peut les exploiter ou pas, sourit-il. On en a envie, on espère bien sûr que le public va apprécier, va se connecter aux personnages. Si ça continue, le défi sera de rester dans ce délire de potes, cette écriture avec des choses qui nous font rire, cette énergie un peu adolescente. »

« Carpe Diem », de Julien Guérif et Pierre Isoard, 6 épisodes de 52 minutes à voir dès ce lundi 10 mars (21 h 10) sur TF1. Avec Samuel Le Bihan, Barbara Schulz, Jisca Kalvanda…