« Mon credo », un condensé de 60 ans de succès pour Mireille Mathieu

Mireille Mathieu fête ses 60 ans de carrière avec une nouvelle tournée et la sortie d'un triple CD best of.

Soixante ans de carrière, plus de deux cent millions d’albums vendus, plus de 1 200 chansons au compteur : ces chiffres donnent le vertige et justifient à eux seuls la sortie, ce 3 octobre, d’un nouveau coffret de Mireille Mathieu, intitulé « Mon Credo ».

Pour la demoiselle d’Avignon, il n’était bien évidemment pas question de sortir un énième « best of » classique. Parmi les 61 titres, répartis en 3 CD, près d’un quart ne sont jamais sortis en CD et trois titres inédits, « La voix de Dieu », « Gott im Himmel » et « Suna no shiro », figurent sur cet album.

Un triple CD qui met en lumière la richesse de l’œuvre de l’artiste à l’international avec de nombreux titres en langues étrangères, notamment une version medley en Français, Anglais, Allemand et Espagnol de « La Paloma adieu » ou encore « Madrecitas del Ninos Dios », devenu « Santa Maria de la mer », qui était uniquement sorti en 45 tours en 1981 pour le marché sud-américain,

« Je chante dans douze langues, précise-t-elle. Je n’aimais pas l’école, je n’étais pas très douée mais quand j’ai commencé à travailler dans une entreprise d’enveloppes à Avignon, j’ai appris différentes langues et j’ai adoré ça. J’ai eu la chance d’avoir des professeurs merveilleux et quand on se rend dans un autre pays les gens sont très touchés qu’on parle leur langue. Le plus difficile ça a été le Finnois. Ma chanson « Pardonne-moi ce caprice d’enfant » avait d’ailleurs été reprise par une chanteuse finlandaise et elle avait connu un grand succès alors ça me tenait à cœur de la chanter dans leur langue quand je suis passée en concert là-bas. »

Ses fans retrouveront évidemment ses plus grands succès comme « Une femme amoureuse », « Mille colombes », « Paris en colère », « Qu’elle est belle » et bien évidemment sa reprise du tube d’Abba « The Winner takes it all », devenu « Bravo, tu as gagné ». « C’est un énorme cadeau que je dois à mon manager Johnny Stark, confie-t-elle. Nous sommes allés à Stockholm. Björn et Benny ont fait l’orchestre, Agnetha et Frida faisaient les chœurs, c’était un moment inoubliable. »

Fan d’Abba mais aussi de Queen, Mireille Mathieu a aussi ses chouchous sur la scène française, notamment Christophe Maé : « Lui, je l’adore, sa voix est superbe et j’aimerais tellement qu’il m’écrive une chanson ».

Au cours de sa riche carrière, elle a aussi pris part à de nombreux duos prestigieux. Certains ont été retenus pour ce triple « best of », dont « Bring the wine » avec le crooner américain Paul Anka et deux titres avec Patrick Duffy « Together we’re strong » et « Something’s going on ». « C’est également un merveilleux souvenir, avoue-t-elle. Avec l’immense succès de la série Dallas, où il jouait le rôle de Bobby Ewing, tout le monde voulait voir, c’était tellement de la folie qu’il a fallu fermer les studios pour enregistrer. »

Des titres que le public du théâtre Sébastopol aura peut-être l’occasion d’entendre le dimanche 30 novembre (17 h) lors de l’étape lilloise de la tournée « 60 ans d’amour » d’une artiste profondément attachée au Nord : « Ma maman est née à Rosendaël, elle était fière de ses racines nordistes. Lille c’est une date importante, j’y ai de nombreux amis notamment chez Meert, où le général de Gaulle allait chercher ses gaufres. »

« Mon credo », coffret triple CD « best of » chez Sony Music. Mireille Mathieu sera en concert au théâtre Sébastopol à Lille, le dimanche 30 novembre (17 h).

 

Dans « Le secret des secrets », Dan Brown lance une réflexion sur la vie après la mort

Dan Brown est venu à la rencontre de ses fans en France pour présenter son dernier livre.

Moins d’un mois après la sortie de son nouveau roman, « Le secret des secrets », le fameux écrivain américain Dan Brown était ce mercredi soir à Paris, à l’initiative de la Fnac, pour échanger avec quelques privilégiés

Dans ce nouvel ouvrage, le plus célèbre professeur de symbologie Robert Langdon se trouve à Prague pour assister à une conférence de noétique (étude de la conscience) de son amie Katherine Salomon, dont le dernier livre aurait le pouvoir de changer le monde, ce qui n’est pas sans créer ne certaine agitation, des individus mal intentionnés ayant la volonté d’empêcher la parution de cet ouvrage. Sans le vouloir, Robert Langdon se retrouve donc embarqué dans une nouvelle aventure périllleuse pour percer les secrets de la vie après la mort.

« J’ai mis du temps à écrire ce livre (huit ans) car le sujet est difficile, j’ai dû faire beaucoup de recherches, apprendre beaucoup de choses, confie-t-il. J’ai découvert que la conscience humaine est quelque chose d’éphémère, comme si on essayait de retenir de la fumée dans ses mains. C’est difficile d’écrire sur un sujet aussi insaisissable. »

Dan Brown reconnaît avoir éprouvé le besoin, après le décès de sa maman, alors qu’il venait de se lancer dans l’écriture de ce nouveau roman, de s’interroger sur ce qu’il se produit après la mort. « C’est une question que nous nous posons presque tous, indique-t-il. Il paraît que l’Homme est la seule espèce sur Terre qui a conscience de la brièveté de sa présence. Avant, j’étais convaincu qu’il n’y avait rien après la mort mais petit à petit en discutant avec différents spécialistes, avec des gens ayant vécu des expériences de mort imminente et en prenant connaissance des résultats des différentes études qui démontrent que la conscience peut continuer à exister après la mort, j’ai changé d’avis. Ce n’est pas en rapport avec la religion ou avec la spiritualité, c’est juste en lien avec toutes les découvertes scientifiques qui sont en train d’être faîtes. Désormais, je n’ai plus peur de la mort, mais je ne suis pas pressé (rires), je prends beaucoup de plaisir à la vie »

Face à la complexité du sujet et conscient de la perplexité qu’il peut susciter, Dan Brown se réjouit que son personnage de Robert Langdon soit aussi très sceptique face à ses nouvelles connaissances. « Il est ainsi dans la même position qu’un certain nombre de lecteurs qui pourront davantage s’identifier à ce qu’il ressent face à ce qu’il découvre mais je peux juste dire qu’aussi étranges qu’elles puissent paraître, toutes les expériences citées dans le livre sont vraies », précise-t-il.

L’auteur a profité de cette soirée pour expliquer que sa passion pour les énigmes datait de sa plus tendre enfance : « ça vient de mon papa car le matin de Noël pour avoir nos cadeaux, il fallait déchiffrer un code qui nous amenait dans une autre pièce avec un autre code et ainsi de suite jusqu’à trouver le cadeau. J’adorais ça. »

Autre confidence : l’écrivain travaille déjà avec un prestigieux directeur de séries, Carlton Cuse (Lost, Jack Ryan) pour une adaptation sur Netflix sous la forme d’une série. «J’adore travailler avec Ron Howard et Tom Hanks mais la difficulté d’un film c’est qu’il faut compresser le livre en deux heures. Là, avec 8 épisodes d’1 heure, ça laisse plus de marge de manœuvre. »

« Le secret des secrets », de Dan Brown, aux éditions JC Lattés. Prix : 25,90 €.

Francesco Cherillo et Jean-Luc Drion, un duo d’artistes « Hors pistes » qui ne fait pas fausse route

Francesco Cherillo sera aux côtés de Jean-luc Drion pour leur concert Hors pistes ce vendredi à La Chapelle d'Armentières

Dans le milieu du sport, lorsque l’on veut s’aventurer à faire du hors pistes, il vaut mieux être un skieur déjà très confirmé pour éviter les accidents. Dans la musique, c’est un peu pareil avec le nouveau duo « Hors pistes », créé par Francesco Cherillo et Jean-Luc Drion. Ces deux là se connaissent depuis plus de quarante ans et ont marqué, chacun à leur façon, le domaine artistique.

Le premier a connu un franc succès dans les années 1980, sous le nom de Monte Kristo, en pleine mode de l’italo-dance, signant quelques tubes placés parmi les dix meilleures ventes du Top 50 comme « The girlf of Lucifer » ou encore « Lady Valentine ». Des titres qui l’ont amené sur les plateaux de toutes les grandes émissions de télévision de l’époque et même au festival de Cannes.

Jean-Luc Drion a, de son côté, connu de multiples casquettes (arrangeur, compositeur, musicien, chef d’orchestre, producteur) qui lui ont permis de travailler avec de nombreuses célébrités de Michel Sardou à Johnny Hallyday en passant par Alain Delorme, Karen Cheryl, Claudia Cardinale ou encore Magazine 60 et d’être ainsi associé à 17 disques d’or. L’un de ses principaux tubes « Don Quichotte » a d’ailleurs été repris dans la bande originale du film « Happy gilmore 2 », avec Adam Sandler, qui fait un carton depuis cet été sur Netflix.

Récemment, les deux hommes ont donc décidé d’unir leur talent. « Je voulais chanter avec un musicien, j’ai proposé à Jean-Luc Drion de m’accompagner. Il m’a dit qu’il était partant mais pas pour faire un énième piano-voix. Il voulait pousser le projet un peu loin », se souvient Francesco Cherillo.

C’est ainsi qu’est née l’idée de « Hors pistes ». « Je commence une chanson, les gens la reconnaissent mais finalement Francesco en chante une autre. Par exemple, je commence à jouer « Stranger in the night » et il enchaîne en chantant sur « Les gens du Nord », ça créé un effet de surprise à chaque fois », précise Jean-Luc Drion.

Un exercice qui suscite de vrais moments de convivialité avec le public, comme les deux hommes aiment en partager, que ce soit autour d’un bon repas (Planète Lille qui a rencontré le duo un midi à la brasserie L’Gaiette, rue Masséna à Lille peut en témoigner) ou au cours d’un spectacle. « On fait des choses assez courtes, on passe d’une chanson à l’autre, les gens n’ont pas le temps de s’ennuyer », assurent-ils. Plusieurs medleys sont au menu, notamment un qui rend hommage aux femmes. Il y a aussi des tarentelles italiennes, des chansons rigolotes mais le duo s’autorise tout de même quelques tubes en intégralité. Aznavour, Legrand, Lama, Renaud, Gainsbourg… Les grands noms de la chanson française défilent les uns après les autres pour le plus grand plaisir d’un public qui, généralement, n’hésite pas à donner de la voix.

Un concept original mais forcément plus risqué, presque un exercice de funambule pour passer d’une chanson à l’autre, sans se laisser embarquer. « Ce n’est pas simple ni pour l’un, ni pour l’autre, poursuit Francesco Cherillo. Déjà, il faut qu’il y ait une concordance dans le rythme, dans l’harmonisation. Il faut trouver les bons assemblages. J’apporte des idées de chansons mais c’est Jean-Luc qui valide si c’est possible au niveau du tempo. Ça requiert aussi une grande concentration. »

Le duo « Hors pistes » se produira chez Clo, avenue Kennedy à La Chapelle d’Armentières, ce vendredi 3 octobre à 19 h. Places limitées sur réservations au 06 30 37 18 83

Jean-Luc Drion sera au piano.

Ce qu’il faut retenir de la nouvelle saison de la Star Academy

Le corps professoral de la Star Academy a été dévoilé ce lundi à Paris.

La Star Academy se prépare à faire son grand retour sur TF1 le samedi 18 octobre. Des retrouvailles fêtées comme il se doit lundi soit au Grand Rex avec un show case où plusieurs anciens candidats sont venus chanter des titres qu’ils ont créés avec un succès indéniable depuis leur sortie du château.

Charles Doré, Lennie, Victorien, Marguerite, Julien Lieb, Helena et bien évidemment les deux derniers grands gagnants, Pierre Garnier et Marine ont enflammé l’enceinte parisienne dans laquelle avaient pris place de nombreuses personnalités de la chaîne et notamment des comédiens des différentes séries quotidiennes (notamment Tout pour la lumière et Ici tout commence).

Une soirée qui fut l’occasion aussi de découvrir une deuxième candidate de la nouvelle promotion. Après Théo, le kinésithérapeute lillois de 24 ans ; la production a révélé le visage d’une deuxième élève, Sarah, images du casting à l’appui, qui a déjà bluffé le public par sa voix extraordinaire. Un signe annonciateur « d’une promotion exceptionnelle », selon le directeur de la Star Academy, Michael Goldman.

Quelques heures auparavant, les dirigeants de TF1 et Endemol avaient tenu une conférence de presse de lancement de cette nouvelle saison, voilà ce qu’il faut en retenir…

Deux nouveaux professeurs

L’information avait déjà fuité depuis quelques semaines mais c’est désormais officiel Malika Benjelloun et Hugues Hamelynck ne seront plus de l’aventure cette année. Pour les remplacer, la production a fait appel à Jonathan Jenvrin pour les cours de danse et à Alain Degois, surnommé « Papy » pour ceux de théâtre. Deux artistes qui ont déjà largement fait leurs preuves.

Le premier, danseur-chorégraphe, a travaillé ces dernières années avec, entre autres, Shym, Kylie Minogue, Rihanna ou encore Dua Lipa. Ancien disciple de Kamel Ouali, il ne cache pas son impatience de transmettre son savoir et sa passion aux élèves, même ceux « qui ont deux pieds gauches ».

Dans un tout autre registre, Alain Degois, spécialiste de l’improvisation, s’est taillé une solide réputation de découvreur de talents en faisant éclore des humoristes comme Jamel Debouzze, Sophia Aram, Arnaud Tsamère ou encore Issa Doumbia. Il s’occupe aussi de la mise en scène de nombreux spectacles dont ceux de Blanche Gardin ou encore Sebastian Marx.

Pour le reste, les télespectateurs retrouveront dans le corps professoral Sofia Morgavi au chant, Marlène Schaff pour l’expression scénique, Ladji Doucouré pour le sport et les répétitrices Lucie Bernardoni et Fanny Delaigue. Enfin Karima Charni continuera d’accompagner les élèves, notamment dans le bus qui les ramène au château après chaque prime. Enfin, petite nouveauté, les élèves bénéficieront cette année de quelques cours d’anglais.

Une marraine et un parrain de renom

Là encore, pas de surprises. On savait depuis déjà quelques semaines que Charlotte Cardin et Ed Sheeran prendraient la succession de Clara Luciani au soutien des élèves. Forcément convaincue par l’impact de l’émission, les chiffres d’écoute de son single ayant explosé après son passage à la Star Ac, Charlotte Cardin semble bien décidée à être une marraine très investie. Un prime sera consacré à ces deux artistes au cours de la saison.

 

Une saison rallongée ?

Le nombre de candidats n’a volontairement pas été annoncé, tout comme la date de la finale. Ceci pour visiblement laisser de la marge à la production qui ne s’interdit pas de prolonger un peu le plaisir. Le nombre d’élèves sera-t-il à la hausse. On ne le saura que le 18 octobre. Ce qui est certain, c’est que les chiffres de la saison écoulée donnent de l’appétit. 54 millions de Français ont vu ne serait-ce qu’un petit passage de la Star Academy et que ce soit par le biais de la télévision ou via les réseaux sociaux, ce sont même, d’après les statistiques fournies lundi, 100 % des 15-34 ans qui ont eu au moins un contact avec le programme ! Plus d’un million de spectateurs sont allés en salle voir la tournée collégiale ou les concerts d’anciens élèves et on atteint carrément le milliard de vidéos vues en lien avec la Star Academy.

 

Un hymne gardé secret

Davantage par volonté de réserver la surprise aux élèves que pour faire des cachoteries, la production n’a pas daigné dévoiler l’hymne de cette nouvelle saison. Tout juste sait-on qu’à l’inverse de la saison passée où un nouveau titre de Santa « Recommence-moi » avait été retenu, ce sera le retour à un grand standard de la chanson.

  

Une mécanique inchangée

On ne change pas une formule qui gagne. Le principe de cette saison ne bouge pas avec trois nominés chaque semaine après les évaluations, une « batte » entre les trois meilleurs élèves de la semaine pour gagner une immunité pour la semaine suivante et un défi chanté-dansé avec un tableau concocté sur mesure par Jonathan Jenvrin permettra de mettre en avant les artistes les plus complets. Sauf exception (miss France, match de rugby des Bleus), les primes auront lieu chaque samedi, certains seront événementialisés ; les téléspectateurs pourront suivre l’actualité des élèves dans la quotidienne sept jours sur sept et les plus acharnés pourront s’abonner à la chaîne qui diffuse la vie du château en continu. Enfin, la production promet encore davantage d’interactivité.

Lancement de la nouvelle saison, le samedi 18 octobre (21 h 10) sur TF1.

Alice Dufour gravit de nouvelles marches avec « Montmartre »

Alice Dufour occupe le rôle principal de la nouvelle série Montmartre. (c) Julien Panié - Athentic Prod - Banjay - TF1

« Montmartre », la nouvelle série de TF1 débarque sur vos écrans, ce lundi 29 septembre (21 h 10) avec un casting pharaonique de 94 comédien(ne)s, petits et grands rôles confondus. Parmi eux, des visages très connus du grand public comme Mathilde Seigner, Cristiana Reali, Valérie Karsenti, Benjamin Baroche ou encore Hugo Becker mais aussi de nombreuses valeurs montantes dans les rôles principaux dont Alice Dufour, tout émerveillée de se retrouver propulser en première ligne. « Mon agent m’a proposé le casting et tout s’est bien passé. C’est magique, j’ai vu les premiers épisodes et le résultat est au-delà de mes espérances. Je n’arrive pas trop à réaliser mais dans ce métier assez compliqué, il faut juste apprécier les opportunités qui se présentent  », confie la comédienne, qui incarne Céleste.

« C’est une jeune femme qui a vu son père assassiné sous ses yeux quand elle était toute petite et qui a été séparée de son frère et de sa sœur, tous ayant été vendus à des familles différentes, précise-t-elle. Forcément ça forge un caractère. Son combat au début de la série, c’est de retrouver la fratrie. Elle a mis sa vie personnelle de côté pour y parvenir et même si au fil des épisodes, on va assister à son émancipation, son souhait initial n’est pas de bouleverser les conventions ou la situation des femmes de cette époque. »

Un choix scénaristique qu’Alice Dufour juge plus pertinent : « ça aurait été moins intéressant d’avoir tout de suite affaire à une héroïne très rebelle, comme pouvaient l’être Sarah Bernhardt, Suzanne Valadon ou Blanche Cavelli, des figures artistiques féministes de l’époque même si Céleste a aussi du caractère et sait ce qu’elle veut. »

Se replonger dans la vie du début du XXe siècle fut un vrai bonheur pour la comédienne.;« C’était un rêve de jouer un rôle d’époque. Dès qu’on avait les costumes et qu’on arrivait dans les décors, on se sentait transportés dans un autre temps mais chaque jour c’était environ deux heures de maquillge , habillage, coiffure ».

Sensible, déterminée (quand elle a un but), courageuse (quand quelque chose la passionne), Alice Dufour se retrouve dans quelques caractéristiques de Céleste. Petit clin d’oeil du destin, elle a vécu, elle-même, plusieurs années dans le quartier de Montmartre. « C’est un quartier qui me parle et que j’adore », poursuit celle qui a pu mettre à profit ses années de gymnastique et de danse pour se fondre dans ce rôle , où elle est amené à monter sur la scène d’un cabaret.

« Montmartre », série en 8 épisodes, dès ce lundi 29 septembre (21 h 10) sur TF1