Psychiatre dévouée à sa profession dans la fiction « L’impasse », diffusée ce mercredi (21 h 10) sur France 2, Gwendoline Hamon qui y partage le premier rôle avec Thierry Neuvic, est même à l’origine de la réalisation de ce téléfilm.
« J’avais reçu à l’époque plusieurs messages d’un éditeur de livres auquel je n’ai pas répondu dans un premier temps. Il a insisté en faisant des posts sur les réseaux sociaux et en répétant qu’il souhaitait absolument me contacter, explique-t-elle. J’ai donc fini par lui répondre et il m’a donné un sac de 10 ou 15 livres qu’il me conseillait de lire. J’en ai pris un au hasard, c’était « L’impasse » et tout de suite j’ai trouvé l’histoire hyper intéressante, j’en ai parlé à deux amies productrices qui ont confirmé. Et ça a fini par se faire avec France Télévisions, la production a choisi Delphine Lemoine comme scénariste. »
Gwendoline Hamon a ensuite été retenue pour incarner le rôle d’Hélène, une psychiatre dont le destin va basculer suite aux retrouvailles avec un personnage clef de son passé. « Elle est à ce moment-là dans un passage hyper faible de sa vie, ça ne va pas bien avec son mari, elle est en conflit avec son fils et l’un de ses collègues et elle va se retrouver soupçonnée de meurtre », précise la comédienne qui avoue s’intéresser de près à la psychiatrie.
« L‘autre, l’âme humaine, le raisonnement, l’irraisonné, ça me parle. J’ai un compagnon neurologue et nous avons de grandes discussions sur l’aliénation mentale, la dégénérescence, la bipolarité, les différentes pathologies, poursuit-elle. Ce qu’on ne ne connaît pas est toujours très intéressant. Malheureusement, la psychiatrie ne ramène pas d’argent et c’est donc un peu laissé pour compte. C’est le parent pauvre de la médecine en France . C’est un drame, il y a tellement de gens qui ne vont pas bien. »
Au-delà de son intérêt pour le sujet traité, Gwendoline Hamon apprécie aussi de se retrouver dans un rôle différent de celui qu’elle incarne de façon récurrente dans Cassandre. « Quand on devient identifiée avec un personnage, les gens pensent moins à vous pour d’autres rôles, regrette-elle. On me voit plutôt dans des rôles de flics, de bourgeoise, de femmes d’autorité mais j’ai envie de jouer de tout et dans tous les registres. J’adore Cassandre, je n’ai pas fini mon histoire avec cette femme, je vais d’ailleurs tourner de nouveaux épisodes dans les prochains mois. Je suis une fidèle mais il faut aussi que je fasse d’autres choses à côté. »
« L’impasse », ce mercredi 20 septembre (21 h 10) sur France 2.
Psychiatre dévouée à sa profession dans la fiction « L’impasse », diffusée ce mercredi (21 h 10) sur France 2, Gwendoline Hamon qui y partage le premier rôle avec Thierry Neuvic, est même à l’origine de la réalisation de ce téléfilm.
« J’avais reçu à l’époque plusieurs messages d’un éditeur de livres auquel je n’ai pas répondu dans un premier temps. Il a insisté en faisant des posts sur les réseaux sociaux et en répétant qu’il souhaitait absolument me contacter, explique-t-elle. J’ai donc fini par lui répondre et il m’a donné un sac de 10 ou 15 livres qu’il me conseillait de lire. J’en ai pris un au hasard, c’était « L’impasse » et tout de suite j’ai trouvé l’histoire hyper intéressante, j’en ai parlé à deux amies productrices qui ont confirmé. Et ça a fini par se faire avec France Télévisions, la production a choisi Delphine Lemoine comme scénariste. »
Gwendoline Hamon a ensuite été retenue pour incarner le rôle d’Estelle, une psychiatre dont le destin va basculer suite aux retrouvailles avec un personnage clef de son passé. « Elle est à ce moment-là dans un passage hyper faible de sa vie, ça ne va pas bien avec son mari, elle est en conflit avec son fils et l’un de ses collègues et elle va se retrouver soupçonnée de meurtre », précise la comédienne qui avoue s’intéresser de près à la psychiatrie.
« L‘autre, l’âme humaine, le raisonnement, l’irraisonné, ça me parle. J’ai un compagnon neurologue et nous avons de grandes discussions sur l’aliénation mentale, la dégénérescence, la bipolarité, les différentes pathologies, poursuit-elle. Ce qu’on ne ne connaît pas est toujours très intéressant. Malheureusement, la psychiatrie ne ramène pas d’argent et c’est donc un peu laissé pour compte. C’est le parent pauvre de la médecine en France . C’est un drame, il y a tellement de gens qui ne vont pas bien. »
Au-delà de son intérêt pour le sujet traité, Gwendoline Hamon apprécie aussi de se retrouver dans un rôle différent de celui qu’elle incarne de façon récurrente dans Cassandre. « Quand on devient identifiée avec un personnage, les gens pensent moins à vous pour d’autres rôles, regrette-elle. On me voit plutôt dans des rôles de flics, de bourgeoise, de femmes d’autorité mais j’ai envie de jouer de tout et dans tous les registres. J’adore Cassandre, je n’ai pas fini mon histoire avec cette femme, je vais d’ailleurs tourner de nouveaux épisodes dans les prochains mois. Je suis une fidèle mais il faut aussi que je fasse d’autres choses à côté. »
« L’impasse », ce mercredi 20 septembre (21 h 10) sur France 2.
Psychiatre dévouée à sa profession dans la fiction « L’impasse », diffusée ce mercredi (21 h 10) sur France 2, Gwendoline Hamon qui y partage le premier rôle avec Thierry Neuvic, est même à l’origine de la réalisation de ce téléfilm.
« J’avais reçu à l’époque plusieurs messages d’un éditeur de livres auquel je n’ai pas répondu dans un premier temps. Il a insisté en faisant des posts sur les réseaux sociaux et en répétant qu’il souhaitait absolument me contacter, explique-t-elle. J’ai donc fini par lui répondre et il m’a donné un sac de 10 ou 15 livres qu’il me conseillait de lire. J’en ai pris un au hasard, c’était « L’impasse » et tout de suite j’ai trouvé l’histoire hyper intéressante, j’en ai parlé à deux amies productrices qui ont confirmé. Et ça a fini par se faire avec France Télévisions, la production a choisi Delphine Lemoine comme scénariste. »
Gwendoline Hamon a ensuite été retenue pour incarner le rôle d’Hélène, une psychiatre dont le destin va basculer suite aux retrouvailles avec un personnage clef de son passé. « Elle est à ce moment-là dans un passage hyper faible de sa vie, ça ne va pas bien avec son mari, elle est en conflit avec son fils et l’un de ses collègues et elle va se retrouver soupçonnée de meurtre », précise la comédienne qui avoue s’intéresser de près à la psychiatrie.
« L‘autre, l’âme humaine, le raisonnement, l’irraisonné, ça me parle. J’ai un compagnon neurologue et nous avons de grandes discussions sur l’aliénation mentale, la dégénérescence, la bipolarité, les différentes pathologies, poursuit-elle. Ce qu’on ne ne connaît pas est toujours très intéressant. Malheureusement, la psychiatrie ne ramène pas d’argent et c’est donc un peu laissé pour compte. C’est le parent pauvre de la médecine en France . C’est un drame, il y a tellement de gens qui ne vont pas bien. »
Au-delà de son intérêt pour le sujet traité, Gwendoline Hamon apprécie aussi de se retrouver dans un rôle différent de celui qu’elle incarne de façon récurrente dans Cassandre. « Quand on devient identifiée avec un personnage, les gens pensent moins à vous pour d’autres rôles, regrette-elle. On me voit plutôt dans des rôles de flics, de bourgeoise, de femmes d’autorité mais j’ai envie de jouer de tout et dans tous les registres. J’adore Cassandre, je n’ai pas fini mon histoire avec cette femme, je vais d’ailleurs tourner de nouveaux épisodes dans les prochains mois. Je suis une fidèle mais il faut aussi que je fasse d’autres choses à côté. »
« L’impasse », ce mercredi 20 septembre (21 h 10) sur France 2.